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Faut-il ou non… faire du « naming » dans le sponsoring sportif ?

naming

Lorsqu’un bateau ou une équipe sportive porte le nom d’une marque, cela ne choque pas et c’est plutôt sans « douleur » que cette pratique du « naming » est apparue dans le paysage du sponsoring en France.

Aujourd’hui, un cas en 2010 et un autre en 2011, le « naming » s’attaque à la dénomination d’un lieu d’infrastructure sportive sous couvert de participation au financement par la marque et d’un contrat d’engagement sur plusieurs années.
Il y a donc maintenant un stade MMArena au Mans et un palais des sports Kindarena à Rouen.
Toutefois, notamment en raison des financements public – qui sont majoritaire dans la réalisation de ces infrastructures – il semble que la population locale ne soit pas franchement très satisfaite par la chose.

Il faut donc laisser au temps faire son chemin pour voir si ce type de stratégie de marque va porter ses fruits. Rappelons ici que pour le Kindarena c’est la marque Kinder du groupe Ferrero qui mène cette opération, alors qu’elle sponsorise déjà le club de basket qui utilise ce palais des sports et que la société possède une unité de production installée localement.

@suivre

Une saga pour réfléchir…. à votre marque

Choisir un nom pour un produit ou une entreprise c’est faire le choix de construire une marque…en espérant que celle-ci puisse devenir un atout majeur dans le développement de son activité.
Voici une saga en image, histoire de tirer profit de l’expérience et nourrir sa réflexion.

Tout à  commencé quand Léon Beton décide de trouver un débouché aux orangeraies de sa région natale Mitidja. Il s’inspire de l’invention d’un pharmacien espagnol, le Docteur Trigo (à qui il rachète sa formule), qui a mis au point un jus de fruit à base d’orange. Léon Beton ajoute de l’eau gazifiée à cette recette et décide d’appeler cette boisson dans un premier temps « Naranjina » (naranja signifie « orange » en espagnol), avant d’opter pour pour le maintenant célèbre « Orangina ».