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La convergence numérique….à vos tablettes !

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Tout le monde parle de la convergence numérique depuis plusieurs années, mais comment imaginer que cela puisse être utile dans les activités des entreprises ?

De quoi parle-t-on ?
La convergence numérique c’est le recoupement et le regroupement de services ou d’outils numériques anciennement indépendants. Cela veut dire qu’avant ces outils ou ces services n’étaient pas capable de communiquer entre eux. Un exemple simple, le répondeur téléphonique. Vous deviez enregistrer un message pour que vos interlocuteurs soient rassurés d’avoir fait le bon numéro et qu’ils allaient bien vous laisser un message à vous et pas à une autre personne. Fini le sketch de Muriel Robin ! Aujourd’hui vous pouvez télécharger un fichier mp3 avec le même message sur votre répondeur de téléphone mobile et celui de votre fixe. Avec votre ordinateur, un micro et un logiciel rien de plus facile. La convergence numérique nourrit le développement d’appareils multifonctions, par davantage de relations et d’échanges entre chacun d’eux pour passer d’éléments spécialisés et différents à un ensemble homogène numérique. Pour suivre dans le même exemple, un message laissé sur votre répondeur peut aujourd’hui être transféré en MP3 sur votre ordinateur ce qui vous permet d’archiver un message important. La convergence suit la conversion des appareils ayant des technologies dédiées vers des structures exploitant les données numériques grâce à des composants provenant de l’informatique. La convergence numérique est utile dans bien d’autres cas de gestion d’informations : son, texte, image, vidéo… Cela ouvre ensuite la voie aux recoupements et à l’hybridation des outils et des échanges numériques.

Avant, l’information devait être stockée sur des objets physiques (cassette audio, disque vinyle, pellicule de photo argentique, feuille de papier, cassette vidéo, disquette), que la numérisation a permis de  « dématérialise » pour en faciliter le transport, l’échange et l’interprétation par des appareils multiple. Aujourd’hui votre voix peut être enregistrée en fichier mp3 dans votre appareil photo, votre téléphone, votre ordinateur et écouté sur votre téléviseur à l’aide d’une clès usb ou bien dans le baladeur numérique de votre enfant ou l’autoradio de vos commerciaux.
Le support de stockage est toujours physique, mais il peut prendre différentes formes et s’échanger à distance grâce à sa forme numérique compatible. Les systèmes de mémoires de stockage de mêmes technologies se retrouvent dans des appareils différents ou bien peuvent se connecter (avec ou sans fil). La photo prise par votre téléphone peut être envoyée vers un autre téléphone ou bien vers un ordinateur ou directement sur une imprimante.
En fait la convergence peut aussi être envisagée dans sa dimension d’élargissement des types appareils qui peuvent entrer dans un réseau informatique afin de permettre aux informations d’être lues, écoutées, visualisées, copiées.  La convergence numérique se traduit par la fusion d’appareils qui étaient très différents comme le téléphone avec la télévision ou l’ordinateur avec la chaîne haute-fidélité et le magnétoscope.

En quoi cela peut être utile dans une entreprise ?
Prendre une photo du produit livré et installé permet de confirmer à un client la fin de votre commande. Envoyée directement depuis le téléphone de votre technicien vous optimisez le suivi et améliorez votre qualité de service. Mieux, la vidéo de démonstration permettra à votre client de retrouver la bonne manipulation de l’équipement installé.
Vous pouvez aussi augmenter l’efficacité de votre service client en disposant d’une base documentaire illustrée que vous pouvez transmettre par e-mail, ou mettre à disposition dans un extranet…
Bref aujourd’hui le multimédia n’est plus seulement une histoire traitée par le service communication et les services informatiques, mais il y a de nombreuses applications pour tous les managers à la recherche de nouvelles pistes d’organisation.

Vous souhaitez en savoir plus ?
Et si vous preniez le temps d’en parler avec nous…

Le privilège du quantitatif sur le qualitatif… et pourquoi pas l’inverse ?

Dans le monde de la communication publicitaire et des médias, un nom est particulièrement partagé avec l’ensemble de la population française :
Audimat.

Ce nom est au départ donnée par la société d’études et de sondage CEO (via SECODIP), à un échantillon de foyers ayant acceptés d’avoir un équipement d’audimétrie permettant de disposer de quelques données sur les audiences des chaînes de télévision à l’époque.

En 1988, Médiamétrie, société spécialisée dans la mesure d’audiences des médias, fait évoluer les choses en mettant en place un nouveau panel en remplacement du précédent ayant pour nom “Mediamat“.
Toutefois, les journalistes (ayant déjà du mal à comprendre ce que signifie le mot “panel”) entretiennent régulièrement l’emploi du mot audimat pour évoquer LES CHIFFRES D’AUDIENCE des chaînes de télévision, bien que cette étude n’existe plus sous cette dénomination.
Il semblerait même que les directeurs des programmes, les dirigeants et gestionnaires des télévisions françaises ne connaissent que la loi de l’audimat. Un programme fait de l’audience…on le garde, s’il ne fait pas assez d’audience, on le sort de la grille.

Moi, j’aurai juste un voeu pour 2012… que l’on mette en place une étude d’audience permettant de relever des critères qualitatifs d’appréciation par les téléspectateurs. Il semble qu’un rapprochement entre les critères quantitatifs et qualitatifs porterait probablement ses fruits dans une période où les audiences se noient dans la multiplicité de l’offre télévisuelle, associés à l’évolution des comportements des français quand au temps passé devant le petit écran.
Pourquoi ? Parce qu’un annonceur peut vouloir autre chose que du quantitatif. Il ne veut pas forcément toucher une cible qui trouve que le programme est peu intéressant mais captivant alors même que cette cible ne sait pas d’ailleurs pourquoi elle a choisi de regarder cela. Mesdames Messieurs les dirigeants du PAF et de la télévision française, vous vous devez d’inventer maintenant de nouvelles logiques de programmation pour définir quels sont les critères qualitatifs qui vous donneront une chance d’exister dans 10, 20 ou 50 ans !
On vous accusait à tort d’être le média qui ferait disparaitre la presse écrite.
Soyez à l’écoute du fil de histoire pour que la télévision puisse redevenir un média qui allie puissance et qualité, sinon, comme la presse écrite, vous disparaitrez petit à petit.

Faut-il ou non… faire du “naming” dans le sponsoring sportif ?

naming

Lorsqu’un bateau ou une équipe sportive porte le nom d’une marque, cela ne choque pas et c’est plutôt sans “douleur” que cette pratique du “naming” est apparue dans le paysage du sponsoring en France.

Aujourd’hui, un cas en 2010 et un autre en 2011, le “naming” s’attaque à la dénomination d’un lieu d’infrastructure sportive sous couvert de participation au financement par la marque et d’un contrat d’engagement sur plusieurs années.
Il y a donc maintenant un stade MMArena au Mans et un palais des sports Kindarena à Rouen.
Toutefois, notamment en raison des financements public – qui sont majoritaire dans la réalisation de ces infrastructures – il semble que la population locale ne soit pas franchement très satisfaite par la chose.

Il faut donc laisser au temps faire son chemin pour voir si ce type de stratégie de marque va porter ses fruits. Rappelons ici que pour le Kindarena c’est la marque Kinder du groupe Ferrero qui mène cette opération, alors qu’elle sponsorise déjà le club de basket qui utilise ce palais des sports et que la société possède une unité de production installée localement.

@suivre

Une saga pour réfléchir…. à votre marque

Choisir un nom pour un produit ou une entreprise c’est faire le choix de construire une marque…en espérant que celle-ci puisse devenir un atout majeur dans le développement de son activité.
Voici une saga en image, histoire de tirer profit de l’expérience et nourrir sa réflexion.

Tout à  commencé quand Léon Beton décide de trouver un débouché aux orangeraies de sa région natale Mitidja. Il s’inspire de l’invention d’un pharmacien espagnol, le Docteur Trigo (à qui il rachète sa formule), qui a mis au point un jus de fruit à base d’orange. Léon Beton ajoute de l’eau gazifiée à cette recette et décide d’appeler cette boisson dans un premier temps « Naranjina » (naranja signifie “orange” en espagnol), avant d’opter pour pour le maintenant célèbre « Orangina ».

Dynamiser son espace commercial

point de vente - store concept
Les agences de communication tiennent souvent un discours autour de “l’image de marque” alors que l’annonceur recherche principalement des opportunités au service  de la dynamisation commerciale de ses points de vente.
Construire et entretenir une marque est indispensable pour le développement d’une société, pour son image globale et sa stratégie à moyen et long terme. Toutefois, les actions en points de vente, structurent et alimentent “le dialogue” entre la marque et ses clients.
Dans une période de pessimisme il est important d’être à l’écoute du marché.  Les clients sont demandeurs d’une interaction marque/point-de-vente. Le point de vente doit alors créer et entretenir un dialogue pour développer la fréquentation et fidéliser.
Ainsi, pour l’annonceur, le principal avantage consistera à prolonger la durée de vie de son “store-concept” en agissant principalement sur ses animations (au sens large) dans ses point de ventes. Si le réseau de point de vente n’a pas trouver encore sa dynamique, une cure de jouvence à moindre coût se LE moyen de dynamiser son espace commercial tout en stimulant sa force de vente.

Si vous êtes à la recherche de solutions pour dynamiser vos points de vente….consultez-nous !

A quoi ça sert la pub ?

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…oups, voilà la question qui représente un casse-tête pour apporter une réponse courte, simple et qui soit en phase avec les attentes de la personne qui vous la pose !

Au sens strict, la publicité à travers les médias a pour simple vocation de faire connaître une marque, un produit, une entreprise, un individu…

A cela on peut rajouter qu’il y a un séquençage à introduire dans la maturité de l’annonceur (celui pour qui la publicité est faite). Disons que l’objectif est par exemple d’être connu de 100% d’une population cible (séquence 1). L’objectif sous-jacent pourrait être que l’annonceur bénéficie d’une considération de 75% de cette même population (séquence 2) et que 15 ou 20% soient des acheteurs (séquence 3). La pub  contribuerait aux ventes d’une marque par l’intermédiaire de ces 3 séquences. Malgré tout la pub peut aussi agir dans une quatrième séquence qui est la fidélisation et dans une cinquième où l’individu client devient un prescripteur.

Ainsi la publicité pourrait servir de façon simultanée, chronologique ou cyclique à la fois à la construction de la notoriété mais aussi aux objectifs comportementaux que l’on est à même d’en attendre.
CQFD

Origine des marques : Maggi

L’invention de Julius Maggi en 1885 va donner vie à l’entreprise éponyme en 1886 !
Né en 1846, Julius Maggi à l’envie au fil du temps d’inventer, d’innover. Alors que la révolution industrielle est en marche, il veut proposer aux ouvriers un plat nourrissant, rapide et peu onéreux. De plus, dans les usines, nombreuses sont les femmes  travaillent et, de fait, disposent de moins de temps pour cuisiner. Julius Maggi trouve une solution en inventant des soupes en sachets.

Pour continuer dans sa lancé, Julius Maggi met au point une “recette secrète” destinée à assaisonner les bouillons et les potages. Il lance donc son Arôme Saveur en 1887 ! Sa dernière innovation arrivera sur le marché en 1908 (4 ans avant sa mort) : le bouillon KUB.

Ensuite la société continuera en lançant notamment la purée Mousline en 1963 ou plus recemment le système de papillotes (en 2010) destiné à cuisiner le poulet.

Lettre en 3D et ombrées…. sur plaque émaillée !

Une stratégie de ciblage….on fait quoi en 2011 ?

cible

Cibler c’est choisir vers qui on veut adresser ses messages de communication. De ce fait on parle de cible de communication (à qui on veut transmettre un message) souvent plus larges que les cibles marketing (vers qui nous devons agir sur le marché) et les cibles commerciales (à qui on veut vendre finalement).

Dans un premier temps le développement des médias de masse (presse, radio, cinéma, tv, affichage) ont permis d’agir sur un marché de masse et d’appliquer des stratégies de ciblage “one to many” c’est à dire un émetteur qui s’adresse à une cible large.
Le développement d’outils et canaux de communication plus segmentant, permettant d’atteindre des groupes de cible plus restreint, mais plus proche des cibles marketing ou commerciales ont permis d’adopter des “one to few” autrement dit une logique de s’adresser qu’à quelques clients identifiés, comme répondant à certains critères de segmentation porteurs. Le “one to few” est arrivé grâce notamment à l’apparition dans les années 1990 du marketing “one to one” c’est à dire la construction d’un message pour chaque individu d’un groupe cible. Les outils de prédilection étaient alors ceux du marketing direct, mais la vague de l’internet a permis de décupler les champs d’actions du “on to one” et du “one to few”.

Aujourd’hui il est donc important d’envisager une stratégie de ciblage en l’organisant autour des différentes sphères de cibles et suivant une stratégie à trois niveaux d’affectation des moyens et choix (ou non) de canaux.