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Dans vos événements… la sécurité c’est essentiel !

Lorsque l’on parle de « sécurité » à l’occasion de la préparation d’un événement, plusieurs notions surgissent. La première est la sécurité des organisateurs avec un réflexe indispensable : souscrire une assurance qui va couvrir les garanties spécifiques de votre projet. Pour autant il ne faut pas s’arrêter à cette variable. Deux autres sont incontournables : le dispositif de sécurité secours (faire en sorte que votre public encours le minimum de risques en étant présent et organiser la prise en charge des personnes pouvant être blessés ou ayant une défaillance médicale) et le dispositif de mise en sécurisation des biens et des personnes (sécurisation des différents espaces, contrôles des accès, faire respecter les consignes de sécurité, gestion des conflits, protection rapprochée de VIP…). C’est ce dernier point qui va occuper notre attention aujourd’hui.

Effectivement, la sécurité et la protection des personnes et des biens a fortement évoluée au fil des années, notamment en raison des évolutions des populations et de la société. Certains diront que c’est du fait de l’urbanisation concentrée ou encore du développement des transports facilitant le déplacement des personnes mal intentionnées… Tous les organisateurs d’événements vous le diront, le besoin de sécurité s’est accru en même temps que les sociologues alerte sur le sentiment et le besoin ressenti par les citoyens, mais aussi par les salariés des organisations et des entreprises. Alors oui, il y a des missions de sécurité qui relèvent des activités du « secteur public » (services de polices, de secours…) mais beaucoup d’autres répondent à des besoins privés qui sont proposés par des entreprises spécialisées en sécurité des biens et des personnes.

Les participants aux événements sont dorénavant habitués a accepter les contrôles effectués par un agent de sécurité , voir toute une équipe. De plus, avec l’insécurité relative aux activités terroristes dont notre planète est victime, le visitorat a envie fortement de voir le relèvement de niveau de compétence des hommes intervenants pour leur sécurité. La présence d’un agent cynophile est dans l’inconscient des visiteurs une action rassurante et pour votre dispositif de sécurité c’est un effet dissuasif renforcé. A tous les niveaux des besoins existent. Parfois on imagine que seul des agents de sécurité (venant du milieu sportif ou militaire…) font parti des équipes. Pourtant, de plus en plus, les sociétés de sécurité sont organisées avec des équipes pluridisciplinaires, qui intègrent des cadres de différents niveaux, voir des ingénieurs spécialisés pour la gestion de risques très spécifiques. Nous vous conseillons de faire appel à ce type de sociétés de sécurité, présentes sur plusieurs secteurs de prestations (sureté, gardiennage, protection, intervention…).

De fait, les prestations de ces sociétés reposent aujourd’hui sur des savoir-faire très bien délimités et leurs personnels suivent des formation et stages aux programmes généralistes ou spécialisés pour qu’ils soient le plus opérationnel dans des contextes variés. La préparation, la préparation et la préparation sont les 3 arguments qui peuvent guider l’organisateur d’événement. La préparation pour l’anticipation des risques, la préparation dans la sélection des partenaires à qui l’on confie la sécurité, et la préparation des équipes sur place pour le meilleur respect des consignesou proposent des stages de formation, de préparation, de perfectionnement… un secteur qui, comme les autres, exige de faire des efforts constants d’actualisation de ses connaissances et d’entraînement. Un secteur dont la dimension internationale n’échappe à personne. ….

Book Tubeur : Passion ou métier

On parle depuis quelques années, à l’instar de YouTube, de « booktubeurs« . Ce sont des passionnés des pages en papier qui partagent leurs coups de cœur ou donnent leurs avis littéraires. Pour cela, ils utilisent leur chaîne YouTube.

En voici trois :

Attention, il est difficile de vivre des revenus générés par une chaîne Youtube et il y a déjà de nombreux booktubeurs français qui souhaitent vous aider à trouver votre prochaine lecture.

Alors si vous souhaitez en faire votre source principale de revenu, il est préférable (comme pour le dernier liens) de cumuler plusieurs types de sujets ou bien faire des chaînes thématiques différentes avec notamment des sujets complémentaires ce qui vous permettra de rentabiliser votre savoir-faire vidéo.

Après tout, dans la vie, une même personne peut avoir plusieurs passions !

 

Amazon Go : une superette sans caisse !

Amazon Go (en test par les employés d’Amazon à Seattle) est la première superette (170m²) où vous entrez avec votre smartphone (et l’appli qui va bien) et sortez sans passez par la phase « attente aux caisses ».

Effectivement, le lieu est équipé pour vous identifier ainsi que tout ce que vous emportez réellement comme courses. Votre compte client est ainsi débité du montant de vos achats puisque votre trace numérique est entièrement analysée (ce que vous prenez, ce que vous reposez en rayon etc…).

Avez-vous envie réellement de gagner du temps et ne plus pouvoir contrôler votre facture avant de quitter un lieu ?
Allez, on peut encore gagner plus de temps…. demandez à Big Brother de choisir pour vous vos achats dans un budget forfaitaire pré-établit et venez juste récupérer votre boîte (la solution du Drive est donc optimisable).

Vous aurez ainsi la surprise du chef qui tiendra compte de vos habitudes, de votre profil et de la date de consommation. Vous ne perdrez plus de temps à choisir ni à discuter avec un humain qui vous empêche de circuler dans les rayons, vous éliminez ainsi le stress et les angoisses liées à un acte d’achat.
Attention ce n’est pas illogique, sachant que cela était l’un des modèles économique d’antant. Il y a longtemps, vos grands-parents rentraient dans une boutique, demandaient à l’épicier de fournir des produits (que le dit épicier avait sélectionné) et vous repartiez avec votre liste de course réglée rubis sur ongle ou bien notée dans le livre de compte de l’épicier, qui vous faisait ensuite payer la totalité à la semaine ou au mois. Et si le bonheur était dans le non-choix pour gagner sur notre temps de vie au lieu de perdre du temps en raison de la multitude de marques et d’offres différenciées qui existent ?  

Et si on se place côté commerçant, c’est génial… car vous n’avez plus à gérer le problème de la démarque inconnue puisque tout ce qui sort du magasin est identifié et facturé.
Bon il faudra optimiser la gestion des produits cassés, périmé, consommé sur place, non-arrivé en rayon ou non-conforme… Mais c’est bien, on arrive à supprimer un poste dont le coût est important dans la relation client… Est-ce une vrai fausse bonne idée ? l’avenir nous le dira !

 

 

 

Pollution et mégapoles… à chacun son Crit’Air !

les yeux de la perception

En 2017 certaines villes vont devenir des Zones de Circulation Restreinte (ZCR) et les personnes utilisant un moyens de transport individuel (voiture, moto…) devront avoir un système d’identification… la fameuse vignette Crit’Air. Et à terme, le non-respect des restrictions, l’absence ou l’affichage d’une vignette non correspondante seront sanctionnés par une amende.

Question 1 : pourquoi entre 1926 et 2016 les politiques publiques ont laissé ce secteur géographique doubler de population (environ 6 millions d’habitants en 1926 pour plus de 12 millions en 2016)  en Ile-de-France ?
Paris devient une ZCR à compter du 15 janvier 2017, les décrets des amendes seront actifs en en mars ou avril 2017….  mais il semble que l’on hésite, car  l’acquisition d’une vignette Crit’Air est un conseil pour bénéficier d’avantages les jours de pollutions… liberté, égalité fraternité..; et si on imaginait un truc pour réduire la pollution et non pour faire croire à une personne qu’elle agit pour l’environnement en se déplaçant ? Moi je dis qu’il y a 100 ans on aurait lancé un grand concours à l’innovation pour que d’ingénieux inventeurs trouvent des solutions techniques et pratiques… mais bon il faut trouver des idées politiques pour montrer que l’on se préoccupe d’un sujet, au lieu de s’occuper des problèmes des sujets du royaume (là c’est un flash-back de 400 ans).

Question 2 : pourquoi les stratégies d’investissements en infrastructures d’aménagement du territoire n’ont-elles pas fait des régions* françaises des pôles d’attractivités ?
(* tiens d’ailleurs cette année on a aussi changé la carte des régions...) Il semble que les quotas pour limiter la perception de taxes sur un seul et même territoire n’existe pas…. alors continuons à concentrer toujours plus au même endroit les populations et les déserts ruraux continueront a être un choix. C’est rigolo, la fibre optique a commencé a être installée à Paris en 1984 pour des liaisons de centraux téléphoniques et il faut plus de 30 années à la France pour s’apercevoir que les liaisons pourraient éviter la fracture numérique avec les villages qui se sont vidés de leurs habitants. Vont-ils revenir dans ces territoires ? Faut-il exproprier en Ile-de-France pour recréer des forêts qui vont dépolluer l’air francilien ? Faut-il déplacer les population en masse par décrets et lois ou continuer à imaginer que l’auto-régulation va suffire ? Oui mais si on éloigne les populations, il faudra qu’elles circulent plus…  bon, alors quand est-ce que l’on commence a avoir de l’imagination positive au lieu de rester sur des schémas féodaux (pont levis et perception de la gabelle (TICPE, tva sur les véhicules…)  ?

Question 3 : pourquoi discriminer le véhicule et non l’usagé ?
Effectivement, prenons un télétravailleur qui passe 75% de son temps chez lui sans utiliser son véhicule. Doit-il investir dans un véhicule plus propre tous les 5 ans en mettant au rebut son ancien véhicule (qu’il faudra dépolluer) alors que ce consommateur-voyageur contribue à la diminution de la pollution en limitant ses déplacements professionnels ?

Question 4 : une vignette avec un dataMatrixsans aucune communication expliquant les données qui sont liées, est-ce bien légal ?
sous couvert que le sésame (vignette Crit’Air) doit être lié au véhicule pour être certains que c’est la bonne carte grise qui a servie à l’obtenir…. ben moi je dis que dans 5 ans les véhicules qui auront eu la vignette n°2 en 2017 mériteront de passer à la catégorie 3 d’aujourd’hui… ben alors dans 5 ans il faudra changer la vignette… ben c’est le principe de la vignette annuelle des années 70-90 alors … ben en fait on pourrait peut être ajouter à la vignette Crit’Air le paiement d’un malus si tu n’a pas changé de véhicule depuis 6 ans… oui mais on s’éloigne, la question serait plutôt : Est-ce que, avec un lecteur du DataMatrix, quelqu’un peut récupérer les données de ta carte grise ?

Question 5 :  en quoi la circulation alternée impair/pair est plus efficace ?
ben c’est logique ma brave dame, on bloque la moitié des véhicules, donc ils ne peuvent pas polluer ces jours là en circulant…. ben alors pourquoi ne pas faire une ZCR à limitation 30 jours par an avec la circulation alternée pairs/impairs ? ben oui, ce serait pédagogique et permettrait au gens de s’organiser à l’avance et limiterait la création de pics de pollution… ben oui mais alors je ne pourrais pas ajouter de taxes… ben non… sauf que les gens vont dire pourquoi ne pas polluer aujourd’hui alors que le taux n’est pas dépassé… ben parce que ce serait pédagogique, et que les mauvais élèves trichent toujours…  sauf que l’on peut difficilement contrôler les plaques d’immatriculation… ben pourant il y a les radars à lecteur de plaques qu’on peut installer comme les ponts levis à l’entrée des ZCR…. alors le Datamatrix cela ne sert à rien… ben oui, sauf pour les pv de stationnement… ah bon, quand la voiture ne roule pas et ne pollue pas elle pourra avoir un pv en faveur de son non-respect de la pollution… ben c’est logique, non ? .. si on allait boire un café plutôt… ben non c’est un produit d’importation, prend plutôt un chouchen, il est livré à dos d’âne depuis le Finistère nord !

Bienvenue à la discrimination pédagogique ! Encore une fausse bonne idée !
Allez, il fait bon vivre en Limousin, non ?

Le packaging connecté : cela arrive vite !

corporate

 

Vu sur GraphiLine

Un packaging de poisson qui bouge lorsque les clients approchent. C’est le dernier exemple en date de packaging connecté qui a fait le buzz dans le monde de la com. Grâce au Wifi et à des capteurs de mouvements, l’emballage réalise une série de mouvements et de sauts à l’approche des clients.

L’idée est de simuler la fraîcheur du poisson et bien sûr de se démarquer des autres produits. Ce concept a été développé par l’agence polonaise Young & Rubicam pour la gamme de poissons surgelés de l’enseigne Mila. Il témoigne de l’effort des marques pour créer des emballages qui sont repérables directement et qui attirent l’œil du client. Pour résumer, les bons packagings sont ceux qui sortent du lot.

Dans cette perspective, le packaging connecté est promis à un bel avenir. Outre le fait qu’il doit être pratique et apporter les informations que le consommateur recherche, l’emballage connecté a aussi vocation à être « fun ».

On pense notamment à l’opération Tetra Pak Cartoons, qui s’adresse cette fois aux enfants. Réalisée en 2014 et 2015 sur des bouteilles de lait et de jus de fruits, elle consiste à faire participer les enfants aux aventures de trois personnages dans un univers mélangeant réel et virtuel grâce à la réalité augmentée et l’utilisation d’un smartphone ou d’une tablette. À noter que dans cet exemple, la démarche de Tetra Pak se veut à la fois ludique et éducative puisque les animations portent sur des thèmes comme la gestion des forêts, le recyclage, ou encore la biodiversité.

La filière de l’emballage est aujourd’hui le huitième secteur industriel de France avec un chiffre d’affaires de près de 23 milliards d’euros.

 

RETROUVER L’ARTICLE

Avoir un nom et un prénom célèbre…

em-strasbourg-bs

Cicéron disait que le nom est présage – ce qui l’on peut vérifier dans les stratégie de branding – toutefois soulignons ici la créativité de la campagne réalisée pour l’EM de Strasbourg.

Les visages sont ceux d’homonymes, afin d’affirmer l’idée que chaque personne doit avoir son propre modèle de réussite et non rechercher à suivre celui d’un(e) autre !

Alors est-ce que l’on « clone » les étudiants sur les mêmes moulages, ou bien peut on croire en la volonté de chacun de construire, pierre à pierre, son propre modèle d’équilibre et de réussite ?

 

 

 

Cultiver l’identité locale : le limousin en force !

France-128

Pourquoi seulement 2 ou 3 régions de France regrouperaient les français fiers de leurs origines régionales ?

Les bretons, les basques, les corses… oui, mais il y a toutes les autres régions avec des initiatives de plus en plus visible sur le plan économique (ici pas de politique, sauf si elle est de communication!).

Nous vous invitons à découvrir cet article qui présente Laurent Mandon à l’occasion de l’ouverture du CRIL

Cril Café
4 place Denis Dussoubs
87000 Limoges
www.facebook.com/crilcafe

 

Une peu d’eau…. et une forme de contenu !

En marketing on dit souvent que le packaging est un vendeur muet pour un produit !

C’est pas faux lorsque l’on considère par exemple la forme des bouteilles de nombreuses boissons !

Toutefois la publicité peut se concentrer sur le contenu et pourquoi pas aller jusqu’à la forme de la goutte.

Mais là Perrier va un peu loin ! Décider de conserver uniquement le slim alors que ces dames sont très bavardes sur le sujet….

Enfin, les « slims » c’est porteur de sens.

 

 

 

Le cabinet de curiosité de Google : Google Art Projet et +

Certains opposent les utilisateurs d’internet aux visiteurs érudits des musées, des lieux de culture…. Pourtant Google a bien compris qu’il y a un véritable rôle à jouer dans le partage des connaissances culturelles…

Pour preuve il faut se rappeler la création du Google Art Project ( février 2011),

puis du Google Cultural Institute (octobre 2012),

mais aussi compter sur la petite nouveauté en ce début 2013 : les Google Art Talks.

Il s’agit de web conférence,  disponible en temps réel (grâce au service “Hangout on air”) puis en asynchrone via la chaine Youtube du Google Art Project.

En suivant le calendrier des Google Art Talks (via votre compte Google+), en amont de chaque conférence, il vous est possible de poser des questions qui seront transmises aux intervenants. Voilà donc une vraie différenciation d’activité dans la gestion d’un réseau social…. tout en ayant une vraie caution sur la qualité de la source d’information (ce sont des conférences montées en collaboration avec des musée de références au niveau mondial :  MOMA, National Gallery…) !

Google Art Project