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Coronavirus et communication interne !

La crise sanitaire qui se propage dans le monde ne doit pas faire oublier aux chefs d’entreprises que l’humain est au cœur de leurs atouts.

question coronavirus covid 19

Lorsque la vie semble être grandement en danger, chaque être humain a tendance à réagir selon ses propres critères de priorités. La situation actuelle peut, au-delà des conséquences humaines directes, impacter les activités d’entreprises, quels que soient leurs niveaux ou types de structure.

De surcroit, dans le monde actuel avec la rapidité de circulation des bonnes et des mauvaises informations (fake news) les salariés, les collaborateurs, les agents ont le droit de s’inquiéter de tout ce qui se dit. Dans un tel contexte, le chef (cadres, dirigeants, fondateurs, directeurs, président, administrateurs…) se doit de rassurer l’interne avant même de songer à l’externe qui pourtant risque de le solliciter très rapidement. Le chef peut compter sur 2 à 3 orientations stratégique pour guider ses décisions d’actions.

La fierté du métier

Comme disait ma grand-mère il n’y a pas de « sot métier », tous sont utiles à chacun. Le chef doit confirmer à chacun de ses collaborateurs qu’il a un rôle à jouer en conformité avec sa fiche de poste, mais aussi en tant que membre d’une équipe, d’une communauté d’intérêts. Ainsi, en période de crise le chef peut découvrir des ressources insoupçonnées chez ses collaborateurs. Avec le Covid-19 il se peut que vous découvriez des personnes qui ont des notions d’infirmiers ou d’hygiénistes et moins directement des « inventeurs-créatifs » qui vont avoir un sens pratique pour adapter un poste de travail aux contraintes des gestes barrières… tout actif être aime actif. Le confinement ou l’inactivité n’est pas une situation confortable sociologiquement et psychologiquement. Impliquez tous vos collaborateurs et rassemblez toutes les initiatives qui peuvent être sources et solution de progrès, durant la crise mais après aussi.

La reconnaissance du salarié

Souplesse, adaptation ne sont pas forcément les maitres mots de tous. Ceux qui vont vous démontrer leur motivation dans l’implication commune pour assurer les intérêts partagés (et pas simplement les leurs) doivent recevoir les marques de votre reconnaissance et surtout aussi de celles de tous les autres (qui en ont bénéficié ou pas). La reconnaissance au travail est l’un des tout premiers facteurs de motivation et, face à une crise en cours ou terminée, la principale attente (consciente ou inconsciente).

L’exemple du Chef

L’exemplarité du Chef est, en période de crise primordiale. Cela ne veut pas dire imposer une « marche forcée » à ceux qui n’ont pas la motivation de le faire en raison de leurs craintes. La confiance cela se gagne et se mérite. Si vous n’arrivez pas à devenir un modèle que l’on a envie de suivre, d’accompagner, de ne pas laisser tomber…. il faut respecter et protéger (pour le coup, un peu comme un officier militaire face aux troupes) son équipe des risques (ici sanitaire et psychologique) pour renforcer l’adhésion au groupe. Ce sont parfois les plus petites attentions cumulées qui font la différence et non les décisions peu cohérentes et impératives. Il n’est pas évident de prendre du recul sur son mode de management, alors il ne faut pas hésiter à solliciter des avis extérieur et obtenir un feedback d’un regard extérieur. C’est en période de crise qu’un management participatif est un atout pour faire face.

Télétravail ou pas ? Il faut être conscient que généralement les actifs en télétravail sont hyper productif car ils ont moins de sollicitations perturbatrices. Pour autant il faut trouver un bon équilibre en distanciel et présentiel pour équilibrer le besoin de contact social, avec du contact à distance (merci internet et les solutions de téléphonie et de vidéo).

Ce qu’il faut éviter : le droit de retrait ! Il est préférable de trouver des missions nouvelles qui seront utiles à tous, et qui sembleront plus « safe« , plus acceptables. Si toutefois les personnes concernées ne se sentent pas capables de faire face au danger estimé, il devient complexe de maintenir du lien, mais pas impossible de prendre des mesures adaptées. Une crise est toujours transitoire car limitée dans le temps.


Et vous, qu’avez-vous mis en place en matière de communication vers vos équipes ?

Idées culinaires en provenance de Mayotte

banane verte

Après avoir parlé du piment, l’idée d’aborder le thème de la cuisine ultramarine a surgi. Ainsi vous pourrez trouver dans ce blog quelques idées de produits, voire de recettes, en provenance des îles que certains appellent les DOM TOM, d’autres les territoires ultramarins.

Que trouve-t-on au menu si l’on va faire un tour à Mayotte ?

Faire le choix d’un plat local comme du poulet coco, du mérou grillé, du crabe, des brochettes de zébus, avec simplement du manioc ou du riz ou du maïs et en dessert quelques bananes et pourquoi pas, de la noix de coco tout juste tombée de l’arbre.
Sachez, avant tout, qu’il est préférable à Mayotte de ne pas aller dans un restaurant qui cherche à ressembler aux restaurants de métropole (agencement, plats à la carte…). Prendre un repas chez « les mama brochettis » (échoppes de tôles typiques) ou de pouvoir, avec deux fois rien, découvrir les produits locaux à l’occasion d’un pique-nique-barbecue (offre associée à une sortie en bateau, ce sera encore plus top). Manger local, voilà un moment de séjours authentiques !

 

La banane à Mayotte.

La banane est la première des cultures vivrières de Mayotte et constitue la base de l’alimentation pour la population. Les bananes sont consommées crues ou cuites. Il existait près de 50 variétés différentes de banane sur l’île (mais il y a des variétés qui disparaissent en raison des maladies ou des parasites). Avec le « Programme de Réhabilitation de la Bananeraie Mahoraise » (mis en place il y a plus de 20 ans), des actions ont été menées pour la sauvegarde des variétés présentent initialement et de nouvelles variétés plus résistantes ont été introduites.

Planté pendant la saison des pluies à Mayotte (de septembre à février), le bananier est une plante à bulbe (reproduction par multiplication végétative). Oui, vous l’avez compris, le bananier n’est pas un arbre mais bien une plante (certains disent que c’est une herbe géante car une partie des feuilles donne naissance à un pseudo-tronc).

 

Vous voulez voyager tout en restant dans votre cuisine ?

La banane plantain verte, frite ! Si vous avez la possibilité de vous procurer des banane plantain verte, vous pouvez suivre la recette mahoraise de la banane entière frite.
Épluchez vos bananes verte et placez les dans un plat long (plus pratique pour l’étape suivante). Saupoudrez les uniformément d’un mélange d’épices de curcuma et d’un peu de sel (en fonction de votre goût, mais généralement on compte 4 cuillères à café de curcuma pour 1/2 cuillère de sel fin pour 8 bananes). Plonger vos bananes dans huile chaude (180°) pendant environ 4 à 5 minutes. Sortez, égouttez, dégustez chaud (avec ou sans sauce pimentée) !

Nous on a trouvé une autre solution pratique : les frites de bananes plantains vertes de New Market Exo.

 

Voici notre sélections de liens pour en savoir plus sur Mayotte :

> L’essentiel touristique : Comité du Tourisme

> Site des jeunes actifs de Mayotte : UDJAMA

> Mayotte et le sport : actualités sportives de Mayotte

 

 

 

Pourquoi choisir une niche ?

Les gens du marketing, de la distribution, évoquent parfois le terme de « marché de niche » soit pour vous faire comprendre que ce n’est pas une opportunité de taille suffisante, soit au contraire, pour vous indiquer que c’est un marché exploitable avec une stratégie gagnante pour un acteur de taille moyenne.


N’attendez pas de réaliser de grands volumes sur un marché de niche, mais pour autant il peut s’avérer plus rentable qu’un mass-market. Une niche bien identifiée et bien gérée représente un gisement en chiffre d’affaires si vous pouvez atteindre un point d’équilibre grâce à la souplesse de votre structure.

L’avantage premier

Construire une offre, pour un nombre réduit de clients potentiels, avec une durée de propagation de l’offre qui se doit d’être stratégique. Nous ne sommes pas dans le one-to-one, ou le one-to-all, mais dans le one-to-few. La mise de départ nécessite des moyens limités et adaptés. La vision à moyen terme est une des clés pour savoir faire évoluer la montée en puissance d’occupation de la niche.

Un des risques…

Vous serez observé par les occupants actuels du marché plus large répondant partiellement à la demande du marché de niche. De fait, il faut éviter que vos atouts puissent être copier-coller par les acteurs puissants du secteur qui sauront rapidement diviser et segmenter pour se positionner sur votre niche, celle que vous aurez pris la peine de défricher à leur place.

Que faire alors ?

Faire appel à un cabinet de consulting qui aura une vision extérieure et pourra vous guider dans le challenge qui se présente à vous. Sinon, il faut parfois savoir prendre des risques et foncer vers un possible succès !

Faire appel au Micro Service

Idées de nouveaux business


Faire appel à des entreprises de conseils, à des consultants peut être effrayant pour une personne qui veut lancer son activité. Pourtant elle a besoin de s’entourer pour limiter les risques et bénéficier de l’expérience et des savoirs de ces experts.

La solution pour mettre le pied à l’étrier a été trouvée : une plateforme web d’offres de microservices. En permettant d’acheter des offres packagées, le consultant « vérrouile » les limites du temps passé pour réaliser le service, le client dispose d’un descriptif qui lui permet de cerner ce que le service va lui apporter concrètement. Cette relation gagnant-gagnant vous pouvez la trouver sur 5euros.com qui vient de se lancer.

Vous avez un business de service que vous souhaitez développer via internet ? Enregistrez-vous pour vendre plus !
Vous êtes porteur de projet à la création d’entreprise et vous aimeriez faire appel à des microservices pour mettre le plus d’atouts de votre côté ? Faites attention à la qualité de l’offre (parfois au lieu d’un service on vous vend un tuto ou un livre digital voir juste une liste rédigée identique pour tout le monde – donc pas vraiment un service adapté à votre situation).

Pourquoi citer une plateforme où l’on trouve des services concurrentiels ?

Deux ou trois raisons à cela.
Un entrepreneur qui démarre a besoin de trouver des astuces et de bons plans pour ne pas surcharger ses dépenses avant même d’avoir commencé à facturer.
Un entrepreneur qui fait appel aux microservices pourra envisager un peu plus d’accompagnement dès que sa surface financière sera plus adaptée à ce type d’investissements.
L’atelier cortical envisageait déjà une approche similaire dès 2010 et il y a eu d’autres priorités à gérer. Bravo à cette initiative et à ceux qui feront des plateformes similaires ou intégreront les microservices dans leurs offres et positionnement commercial.


Protéger son territoire de marque

muguet

Lorsque l’on développe son entreprise, on imagine parfois que la stratégie de marque est quelque chose de simple, dont la maîtrise est facile et rapide.
On demande à un graphiste de formaliser un logo, à un imprimeur de le reproduire…et pour gagner du temps on dépose soi-même le logo de sa marque à l’INPI en pensant que le travail est terminé. Pourquoi demander à une agence de com de faire cela !

Comme les anglo-saxons le disent le « branding » est une discipline qui apporte de la valeur ajouté à votre société. Elle est valorisable à plusieurs niveaux. Oui, le nom ainsi que le visuel associé au nom (logotype) ont de l’importance. De plus, votre génie créatif peut y ajouter un texte de signature (baseline), une phrase de slogan ou encore d’accroche de campagne… bref au fil du temps de nombreux attributs peuvent venir compléter l’univers dans lequel votre marque évolue. Alors pourquoi laissez à vos concurrents le champ libre pour utiliser, à leur profit, ce que vous avez mis au point ou exploité précédemment ?

Est-ce que vous avez eu récemment  l’occasion de faire le point sur votre territoire de marque ? Avez-vous dialogué avec un professionnel de la communication à ce sujet ? Pourquoi vous priver de faire le point sur un actif de votre société ? Pourquoi négliger un aspect de votre action commerciale où vous avez pourtant investit des moyens en publicité, en espace de diffusion à travers les médias de toute nature, en temps d’affirmation ?

Et si on prenait le temps d’en parler avec une vision à moyen et long terme, au lieu de céder aux sirènes de l’urgence qui font oublier les objectifs premiers au détriment des objectifs à courtes échéances !

 

Bonne résolution 2017 : PROTÉGER SA MARQUE

creation logo

Souvent l’une des premières questions soulevée par un entrepreneur ou un porteur de projet à la création c’est : « comment protéger ma marque ? »
et ensuite, lorsque les priorités budgétaires se font pressantes, on reporte la phase de dépôt INPI (ainsi que les autres outils) préférant se consacrer au branding et aux premières actions de communication.

Pourtant, une fois exploitée votre marque devient vulnérable. Effectivement, pour conquérir votre clientèle vous devez l’exposer au plus grand nombre et de fait, à vos concurrents déjà présent sur le marché et aussi aux prochains arrivants !

Vous avez lancé vos activités sans protéger votre marque ? Vous souhaitez vous développer en 2017 ? Vous souhaitez limiter les risques autour du déploiement de votre marque ?
Alors n’oubliez pas que L’atelier cortical propose ses services en matière de gestion de votre ou de vos marques : recherches d’antériorités, sélection des meilleures classes stratégiques (classement NICE), réalisation des formalités auprès de l’INPI, surveillance et opposition… bref, lorsque l’on parle de « naming » et de « branding » l’approche qui vous est proposée est globale.