Avec les périodes de confinement, après les apéros zoom, voici une remote interview « parcours de vie » qui permet de comprendre comment les créatifs peuvent s’inclure dans le monde des agences de communication et comment leurs métiers s’adaptent face à la pandémie.
Interview d’Antoinette RIBAS faite par Grégory FEREMBACH
Interview d’Alexia VINDRET faite par Grégory FEREMBACH
Interview de Laura Canzano faite par Grégory FEREMBACH
Manager une équipe dans un contexte de gestion de projet, quelques tips à suivre
Régulièrement une équipe peut rencontrer des difficultés pour créer et maintenir la cohésion entre ses membres. Deux situations peuvent découler de cela : impulser la volonté de créer du lien et renforcer le travail en équipe, décider de la fin de l’équipe et alors cultiver l’individualité et la mosaïque des egos.
Alors qu’appelle-t-on la cohésion d’équipe ? C’est l’union, la solidarité et la complicité que peuvent avoir les membres entre eux. Souvent, pour arriver à un état de cohésion minimum, il est indispensable que les managers agissent pour le stimuler. Ensuite, les profils des équipiers font le reste.
Deux variables sont généralement évoquées en tant que nécessité pour que la cohésion d’équipe existe :
la compréhension de soi (Comment puis-je apporter ma contribution à cette équipe ? Quels sont mes atouts et mes points faibles ?…)
la compréhension des autres (Comment puis-je compléter ce qui manque dans l’équipe ? Que faire pour mieux interagir avec les autres membres ? Comment mettre à profit de l’équipe les champs de compétences et les talents présents ? …)
Afin de cerner vos opportunités d’action vers les membres d’une équipe vous pouvez mettre à profit les concepts suivants. Sur le plan universitaire, on peut retrouver et exploiter les travaux sur les styles sociaux de Ned Herrmann avec ceux sur les rôles d’équipe de Meredith Beldin. Ces deux outils se basent surle comportement et non sur la personnalité.
Herrmann : point de rencontre entre les sciences sociales et sciences du naturel
Le fonctionnement du cerveau humain est un territoire de recherche formidable pour les scientifiques. En 1967 Paul Mac Lean présente sa théorie du cerveau « tri-unique ». Selon son approche 3 grands modes de fonctions organisent la gestion : le cerveau reptilien nous aide à piloter les pulsions et les mécanismes automatiques de protection, le système limbique gère les émotions, et enfin c’est notre cortex qui nous permet de manipuler le conceptuel.
Fort de cela, Herrmann présente en 1978 un modèle global du cerveau avec une représentation schématique utilisant un découpage en quatre zones : cortical gauche, cortical droit, limbique gaucheet limbique droit. Tout humain utiliserait alors, en fonction de ses propres préférences cérébrales, 4 modèles de pensée : l’analyste, l’organisateur, le visionnaire et le communicateur.
Ainsi les 4 zones définies correspondent aux 4 modèles de pensées :
• Analyste = Cortical Gauche • Organisateur = Limbique Gauche • Communicateur = Limbique Droit • Visionnaire = Cortical Droit
En quoi cela nous est utile d’en être conscient ?
Application immédiate dans nos métiers :
l’analyse établit un diagnostic,
le visionnaire propose des approches et des solutions,
l’organisateur gère le projet,
le communicateur fait savoir ce que l’on fait.
Dans la constitution d’une équipe on peut choisir d’assembler des personnes ayant des profils similaires pour stimuler des synergies et des personnes complémentaires afin de provoquer des émulations.
Un membre de l’équipe qui utilise de préférence son cortical gauche est un équipier qui est tourné vers l’analyse, qui aime se baser sur des faits, axés vers la technique et qui a le sens critique.
Vous pouvez détecter les comportements d’une personne qui utilise de préférence son limbique gauche en observant les indicateurs suivants : prudent elle n’aime pas prendre de risques, elle structure bien son discours et ses idées car elle s’attache à la forme et aime les détails. C’est un collaborateur qui est organisé et qui apprécie laplanification(et un peu moins l’imprévu).
Après il y a ceux qui ont la tendance d’utiliser plus particulièrement les aires droites du cerveau. Une personne au profil de communicateur va exploiter son limbique droit et apprécier la gestion des relations interpersonnelles car elle est tournée vers l’émotion, éventuellement la spiritualité, mais est plutôt kinesthésique (ressenti par le touché, la manipulation des choses et moins attirée par le conceptuel), elle est souvent ancrée par ses valeurs et sa vision de l’idéal. Le visionnaire s’appuie sur son cortical droit car c’est une personne intuitive, qui aime avoir une vue d’ensemble des choses (vision holistique) car elle manie facilement les concepts, ce qui l’aide dans la créativité. Son esprit de synthèse et d’interprétation du monde qui l’entoure en fait un moteur dans un groupe, une équipe, car le visionnaire a ses pensées orientées vers le futur.
Rôles de l’équipe de Belbin
Le modèle de Meredith Belbin, psychologue britannique, a formalisé 9 rôles contribuant à la réussite d’une équipe. Ces rôles sont généralement présentés en 3 familles :
rôles orientés sur laréflexion,
rôles orientés sur l’action,
rôles orientés sur la relation.
Comme pour les modes de pensée, une même personne peut dans une équipe assumer différents rôles dans différents contextes. Pour exploiter et mettre à profit ces notions, le manager qui supervise sans prendre part sur le plan productif, aura besoin dans l’équipe d’un leader coordinateur ou propulseur et, en fonction du projet géré de plusieurs autres profils de rôle :
Organisateur (discipliné, organisé, efficace),
Propulseur (dynamique, exigeant),
Perfectionneur (travailleur, fiable, anxieux),
Concepteur (créatif, imaginatif),
Priseur (modéré, stratégique, discernement),
Spécialiste (dédié, compétent, expertise),
Coordinateur (mature, confiant, délégatif),
Soutien (sociable, perceptif, sensible),
Promoteur (extraverti, enthousiaste, liant.
Pour donner plus de chance de réussite à un projet, le manager doit réfléchir à la composition de l’équipe en se posant au moins les 2 questions suivantes :
« Quelles compétences pour contribuer au projet, à l’équipe ? »
« Qui pour contribuer au sein de cette équipe, dans quel rôle ? »
Comment travailler sur la cohésion avec ces modèles ?
Ces modèles apportent des indications aux managers. L’intégration de ces concepts et la mise en application est facilitée lorsque le manager doit gérer un nouveau projet. Ainsi il assemble les compétences a priori et les rôles a priori, et peut observer les résultats de progression sur l’équipe et affiner quand et comment ajouter de nouveaux entrants dans l’équipe par exemple.
Il n’y a pas de recette miracle en nombre et en composition d’une équipe. En revanche, lorsque des profils ne sont pas présents ou exploité, il se peut que cela provoque des dysfonctionnements dans l’équipe. Pour exemple, avec un surnombre de profils analytiques et de communicateurs, l’équipe peut devenir après plusieurs phases et étapes improductives. Des rôles orientés actions et personnes avec un mode de pensée d’organisateur boosteront les étapes suivantes du projet de l’équipe.
Le manager pourra aider le leader d’équipe à développer ou resserrer les liens entre les différents membres en tenant compte des 4 profils préférentiels et des 9 rôles. En programmant un atelier de team-building qui aura au préalable permis aux membres de se profiler à l’aide d’un questionnaire par exemple. En commençant l’atelier, chaque membre pourra découvrir (ou redécouvrir) ses préférences. En s’impliquant dans des jeux pédagogiques l’équipe peut alors ressentir les variables de rôles contribuant à mieux se connaître soi-même et ses équipiers. Idéalement, l’atelier de team-building peut s’organiser en début ou en préalable du projet ce qui limite les effets des postures freins de certaines personnes qui sont « orientées tâche à accomplir ». L’atelier team-building peut alors intégrer aussi des animations autour des techniques d’idéation.
La crise sanitaire qui se propage dans le monde ne doit pas faire oublier aux chefs d’entreprises que l’humain est au cœur de leurs atouts.
Lorsque la vie sembleêtre grandement en danger, chaque être humain a tendance à réagir selon ses propres critères de priorités. La situation actuelle peut, au-delà des conséquences humaines directes, impacter les activités d’entreprises, quels que soient leurs niveaux ou types de structure.
De surcroit, dans le monde actuel avec la rapidité de circulation des bonnes et des mauvaises informations (fake news) les salariés, les collaborateurs, les agents ont le droit de s’inquiéter de tout ce qui se dit. Dans un tel contexte, le chef (cadres, dirigeants, fondateurs, directeurs, président, administrateurs…) se doit de rassurer l’interne avant même de songer à l’externe qui pourtant risque de le solliciter très rapidement. Le chef peut compter sur 2 à 3 orientations stratégique pour guider ses décisions d’actions.
La fierté du métier
Comme disait ma grand-mère il n’y a pas de « sot métier », tous sont utiles à chacun. Le chef doit confirmer à chacun de ses collaborateurs qu’il a un rôle à jouer en conformité avec sa fiche de poste, mais aussi en tant que membre d’une équipe, d’une communauté d’intérêts. Ainsi, en période de crise le chef peut découvrir des ressources insoupçonnées chez ses collaborateurs. Avec le Covid-19 il se peut que vous découvriez des personnes qui ont des notions d’infirmiers ou d’hygiénistes et moins directement des « inventeurs-créatifs » qui vont avoir un sens pratique pour adapter un poste de travail aux contraintes des gestes barrières… tout actif être aime actif. Le confinement ou l’inactivité n’est pas une situation confortable sociologiquement et psychologiquement. Impliquez tous vos collaborateurs et rassemblez toutes les initiatives qui peuvent être sources et solution de progrès, durant la crise mais après aussi.
La reconnaissance du salarié
Souplesse, adaptation ne sont pas forcément les maitres mots de tous. Ceux qui vont vous démontrer leur motivation dans l’implication commune pour assurer les intérêts partagés (et pas simplement les leurs) doivent recevoir les marques de votre reconnaissanceet surtout aussi de celles de tous les autres (qui en ont bénéficié ou pas). La reconnaissance au travail est l’un des tout premiers facteurs de motivation et, face à une crise en cours ou terminée, la principale attente (consciente ou inconsciente).
L’exemple du Chef
L’exemplarité du Chef est, en période de crise primordiale. Cela ne veut pas dire imposer une « marche forcée » à ceux qui n’ont pas la motivation de le faire en raison de leurs craintes. La confiance cela se gagne et se mérite. Si vous n’arrivez pas à devenir un modèle que l’on a envie de suivre, d’accompagner, de ne pas laisser tomber…. il faut respecter et protéger (pour le coup, un peu comme un officier militaire face aux troupes) son équipe des risques (ici sanitaire et psychologique) pour renforcer l’adhésion au groupe. Ce sont parfois les plus petites attentions cumulées qui font la différence et non les décisions peu cohérentes et impératives. Il n’est pas évident de prendre du recul sur son mode de management, alors il ne faut pas hésiter à solliciter des avis extérieur et obtenir un feedback d’un regard extérieur. C’est en période de crise qu’un management participatif est un atout pour faire face.
Télétravail ou pas ? Il faut être conscient que généralement les actifs en télétravail sont hyper productif car ils ont moins de sollicitations perturbatrices. Pour autant il faut trouver un bon équilibre en distanciel et présentiel pour équilibrer le besoin de contact social, avec du contact à distance (merci internet et les solutions de téléphonie et de vidéo).
Ce qu’il faut éviter : le droit de retrait ! Il est préférable de trouver des missions nouvelles qui seront utiles à tous, et qui sembleront plus « safe« , plus acceptables. Si toutefois les personnes concernées ne se sentent pas capables de faire face au danger estimé, il devient complexe de maintenir du lien, mais pas impossible de prendre des mesures adaptées. Une crise est toujours transitoire car limitée dans le temps.
Et vous, qu’avez-vous mis en place en matière de communication vers vos équipes ?
Après la Chine, l’Espagne ou l’Italie, la France doit faire face à la pandémie Covid-19.
L’état français indique et actualise des recommandations d’hygiènes, des procédures liées au confinement ou au travail, et des conditions pratiques à suivre dans le contexte de l’urgence sanitaire dans laquelle le pays se trouve.
Les familles endeuillées durant cette période vont malgré tout devoir respecter toutes les consignes et les procédures liées à l’organisation des obsèques (que le défunt soit décédé du covid-19 ou non).
Étant donné que la région parisienne est plus impactée que d’autres (en raison du volume de population) nous avons sélectionné le site Pompes Funèbres 75 qui délivre des informations liées à l’organisation d’obsèques et qui a mis en place une page actualisée sur les directives et procédures impactant les familles de défunts covid-19.
L’expression « buyer persona » désigne en fait le « profil d’acheteur ». Il est une représentation abstraite du client parfait. Le profileur qui va le décrire va se baser sur des données qualitatives (et comportementales) et voir comment on peut transposer vers des informations quantitatives (tailles populations, résultats de sondages….). On peut aussi exploiter sa data de CRM donc de profils de clients existants réellement.
Définir pour un produit, une gamme de produits, sa marque le ou les descriptif de votre buyer persona repose sur l’envie de savoir prendre de meilleures décisions en matière d’actions commerciales, marketing ou tout simplement de communication. Trop souvent on attend des professionnels de la communication de le faire à la place de ceux qui interviennent en amont. En décrivant l’audience potentielle d’une campagne de communication, votre agence de pub l’intègre dans votre cible commerciale et donc, dans les sphères de cibles de communication. Pourtant, vos consultants en marketing auraient probablement dû mettre en place des outils et capteurs capables de générer un relevé d’informations pouvant être utilisées ensuite pour prendre des décisions éclairées et vous aider à faire des investissements plus pertinents.
Concrètement votre buyer persona est la représentation semi-fictionnelle et semi-réelle de votre client idéal. Vous devez par conséquent faire sa carte d’identité associée à sa biographie complète (son parcours, ses études, ses habitudes, ses préférences, ce qu’il déteste….) et au maximum de critères psychosociologiques (motivations, objectifs…).
Pourquoi devriez-vous consacrer du temps ou de l’énergie à construire et maintenir à jour vos informations sur votre Buyer Persona ? Tout simplement parce que c’est votre marché qui est l’enjeu. Certains vous diront même que le développement du business et des activités proviennent principalement de la connaissance de vos acheteurs, plus que de vos capacité à informer les influenceurs et vos audiences intermédiaires.
Pourquoi le digital est une source géniale ? Vous pouvez aujourd’hui collecter de l’info de vos nouveaux prospects ou de vos clients fidèles en ligne. Alors pourquoi ne pas nous demander de monter vos sondages en ligne qui vous aideront à mettre à vous ce que vous saviez ou pensiez savoir à propos de votre marché ? Notre créativité associée aux champs de compétence en marketing fondamentale ouvriront des perspectives sur des types de contenu à créer, des optimisations du tunnel de transformation, identifier de nouveaux de gisements de leads ou d’acquisition….
A l’approche de la Toussaint, voici un sujet que l’on aborde que très rarement : l’organisation d’obsèques.
Pour autant lorsque la personne concernée est un personnage publique, les obsèques peuvent être relativement codifiées et/ou médiatisées, comme par exemple les obsèques de l’ancien président de la république, Monsieur Jacques Chirac.
Malgré tout, pour le commun des mortels (sic) ce sont les sociétés de pompes funèbres qui se chargent, en fonction des souhaits du défunt et de ses proches, de l’organisation des services funéraires.
En fonction des régions de France, des convictions religieuses du défunt, mais aussi des modes et tendances, les modes opératoires et les cérémonies varient.
Il y a forcément des étapes communes (sur le plan administratif et légal) mais chacun peut avoir un protocole personnalisé. Que la cérémonie soit civile ou religieuse, des textes, des musiques viendront ponctuer le travail du ou des maîtres de cérémonies. De la mise en bière à l’inhumation ou à la crémation.
En ce mois de novembre, nous voulions publier ce message de souvenir de ceux qui nous ont quitté, mais aussi valoriser le travail de ces professionnels qui ne sont pas souvent mis à l’honneur. Nous avons trouvé pour vous un portail d’information où vous pourrez en savoir plus si nous avons réussit à stimuler votre curiosité sur le sujet.
En fonction de vos réactions, nous complèterons cet article avec des infos pratiques sur la conception-rédaction de faire part, d’annonce d’avis d’obsèques ou encore pour souligner des souahits originaux de défunt.
Que vous soyez expatrié ou impatrié, originaire d’un territoire loin de la France métropole, pour anticiper les risques financiers liés à un décès prématuré, avez-vous trouvé une garantie qui vous convienne ?
Probablement non ! C’est pourquoi un collectif d’associations de différentes diasporas se sont réunies pour établir un cahier des charges, que le cabinet PPA a ensuite traité, pour mettre au point une Garantie Obsèques Rapatriement de Corps associée à une Protection Juridique Obsèques.
En un seul contrat, vous pouvez vous protéger, ou protéger l’ensemble des personnes de votre foyer (les 2 conjoints et jusqu’à 5 enfants à charge). Vous pouvez choisir une garantie en capital allant de 4.000 à 10.000 euros afin de couvrir les frais d’obsèques. PPA propose effectivement une Garantie Obsèques Rapatriement de Corps qui permet, lorsqu’un décès arrive loin de l’endroit où vous aimeriez être inhumé de disposer d’un capital qui servira à régler tout ou partie des frais : intervention des pompes funèbres en France, fret aérien pour le rapatriement, billet accompagnant, transport du corps jusqu’au lieu de veillé pour les cérémonies traditionnelles, frais d’inhumation… et cela a été vu pour être le plus universel possible et être adapté à toutes les destinations, et toutes les pratiques religieuses et pratiques culturelles.
Vous souhaitez en savoir plus :
> Formulaire demande étude personnalisée par PPA (courtier gestionnaire du contrat)
Il est maintenant possible à tous de faire sa vidéo avec partage d’écran pour expliquer à vos collègues ou à vos followers comment faire. Un site web vous propose une solution gratuite (limité en nombre et durée) ou avec un abonnement : Loom. Ce nouvel outil est facile à prendre en main et vous pouvez choisir de faire des vidéos uniquement de votre écran, ou bien de votre écran et de votre webcam. Vous pouvez aussi gérer une vidéo faite uniquement avec votre caméra.
Concrètement, vous allez pouvoir enregistrer des vidéos pour vos collègues, vos clients, et cela en quelques secondes. Il sera alors très simple de les partager en utilisant juste un lien ou avec un fichier téléchargeable (MP4). N’attendez plus, essayez !
L’économie est aujourd’hui globale, les outils de communication du digital sont disponibles « all-over-the-world » et pour autant l’éco-conception est encore loin d’être appliquée partout dans le monde.
Petite mise au point : c’est quoi l’éco-conception ?
Il existe de nombreuses définitions qui sont souvent liées à l’approche culturelle du pays de l’auteur…. et de la vision de chacun sur les dimensions internationales et des impacts des activités humaines sur l’environnement écologique, des retours d’expérience partagés ou non.
Nous vous proposons ici celle de l’AFNOR :
« L’éco-conception consiste à intégrer l’environnement dès la conception d’un produit ou service, et lors de toutes les étapes de son cycle de vie » Pourquoi parler du web et de l’éco-conception ?
La puissance du haut-débit associé aux évolutions techniques des « devices » (fixes, mobiles…) qui permettent de réaliser et de diffuser des informations nous fait oublier qu’une bonne gestion des volumes de données ou des ressources nécessaire à leur exploitation et utilisation fait gagner temps & énergies à tous.
Un exemple concret : éliminer les fonctions non-essentielles des sites. Effectivement, d’après plusieurs études il y a presque une bonne moitié des fonctionnalités proposées par un site internet qui ne sont pas ou extrêmement peu utilisées.
La réduction effectivement de la couverture fonctionnelle réduit son coût direct (développement initial et frais d’exploitation technique) et se répercute par conséquent sur l’empreinte écologique du site web. La raison : on réduit les temps de travail sur la conception (du cahier d’expression du besoin de la fonctionnalité jusqu’au temps de développement du coding), moins de ressources sont employées à cet effet, ce qui libère mécaniquement du temps disponible pour les équipes et moins d’utilisation des infrastructures à mobiliser à l’exécution de la fonctionnalité (puisqu’elle est inutile). On veut par exemple la possibilité de diffuser des vidéos en haute-qualité directement dans le site. On peut, par exemple, ajouter dans les fonctionnalités le fait que ces vidéos seront de sources sur le serveur du site ou bien en provenance d’un ensemble mutualisé de stockage et de diffusion. En gardant uniquement la fonction « provenant d’un ensemble mutualisé de stockage et de diffusion » augmenter la visibilité de ces mêmes vidéos sans avoir à développer un player dédié plus un stockage en doublon des même fichiers sources des vidéos.
L’éco-conception c’est avoir aussi une vision stratégique, apportant de l’intention éthique en plus des aspects organisationnels. L’intégration opérationnelle peut aussi s’élargir sur toutes les dimensions du marketing au cours du développement de produits : la réduction des impacts sur l’environnement des produits, procédés et services, revoir le cycle de vie, imaginer des solutions prenant en compte les transferts d’impact possible, voir l’environnement comme un levier de compétitivité et d’innovation au service de votre évolution, sans sacrifier la qualité ou encore l’esthétique (design produit, design de la communication associée).
Aller plus loin dans le sujet !
Voici une liste de 115 conseils d’éco-conception à l’usage de tous ceux qui interviennent dans la création d’un site web. Elle est publiée par OPQUAST, qui peut accompagner (formation/certification…) les acteurs de la conception en matière de digital.
Vous avez forcément entendu parler de ce groupe de population que l’on nomme « La Génération Y« .
Ils sont 20% dans la population française et sont des consommateurs ou collaborateurs dans les entreprises… et on les appellent aussi les millennials.
Officiellement, ils sont nés entre 1978 et 1994, alors dans leur univers les 2 parents (ou plus si famille recomposée) travaillent pour leur permettre de poursuivre des études supérieures, peuvent connaître plusieurs générations dans leur propre famille (grands-parents baby boomer, parents de la génération X… et des arrières-grands-parents ou arrières grands-oncles et tantes qui font partis des 5 millions de français de la génération silencieuse née dans les années 1930…).
Bref, la sociologie de toutes ces générations qui coexistent est complexe et provoque des partagent des comportements étonnant voir détonnant. La génération silencieuse se met à l’usage des smartphones et des tablettes, quand la génération X reste attachée à naviguer entre ordinateur et smarTV en se demandant si TanguY de la génération Z (née entre 1995 et 2015) va repousser les limites du départ vers l’indépendance car l’emploi n’est plus obligatoire à la sortie des études supérieures même complétée par une forme d’expérience dans un pays étranger
Alors oui la génération Z compte déjà de très nombreux prescripteurs, mais pour l’instant on hésite à l’appeler la génération C, pour Communication… alors qu’elle représente pour autant un pouvoir de Consommation non-négligeable et que certains ont envie d’appeler la nouvelle génération silencieuse de part leur grande capacité à observer et intégrer les comportements des 4 générations qui les précèdent.
Les sociologues vont rapidement nous aider à voir plus clair dans les différences comportementales entre toutes ces générations qui n’ont rien de spontanées.
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