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Le mois du SEO

Depuis le début du développement du web, des sites, on vous parle des fameux mots clés nécessaires au bon référencement. Pour votre page d’accueil, vos pages importantes, les articles publiés…. Avec le haut débit qui se généralise, le déploiement de la fibre et des nouvelles normes dans l’internet mobile, les contenus visuels, photos et vidéos sont de plus en plus présents. Si dans votre stratégie digitale vous publiez de plus en plus de photos ainsi que des vidéos, il est peut-être temps de faire un point sur leur SEO.

Travailler votre référencement photos et vidéos
Vous savez déjà faire des recherches dans les photothèques en ligne. Vous avez vous-même été confronté à la difficulté de trouver ce que vous recherchez comme image. Mettez cette expérience à profit pour programmer sur ce mois de mars 2021, un travail de tag, d’ajouts de mots clés sur vos photos et vos vidéos.
Une fois cela fait, vous pourrez encore optimiser le travail. Effectivement, pensez qu’aujourd’hui la reconnaissance de contenu d’image se fait aussi par comparaison entre une photo existante et une photo recherchée. Vous aimeriez en savoir plus à ce propos ?


Par conséquent, le paysage SEO connaît des évolutions. Mettre en place des occasions pour continuer à l’optimisation de nos stratégies marketing via le digital, s’accorder du temps pour vérifier et upgrader si nécessaire le volume de data est une façon de maintenir la popularité et la part de voix de sa marque.

Coronavirus et communication interne !

La crise sanitaire qui se propage dans le monde ne doit pas faire oublier aux chefs d’entreprises que l’humain est au cœur de leurs atouts.

question coronavirus covid 19

Lorsque la vie semble être grandement en danger, chaque être humain a tendance à réagir selon ses propres critères de priorités. La situation actuelle peut, au-delà des conséquences humaines directes, impacter les activités d’entreprises, quels que soient leurs niveaux ou types de structure.

De surcroit, dans le monde actuel avec la rapidité de circulation des bonnes et des mauvaises informations (fake news) les salariés, les collaborateurs, les agents ont le droit de s’inquiéter de tout ce qui se dit. Dans un tel contexte, le chef (cadres, dirigeants, fondateurs, directeurs, président, administrateurs…) se doit de rassurer l’interne avant même de songer à l’externe qui pourtant risque de le solliciter très rapidement. Le chef peut compter sur 2 à 3 orientations stratégique pour guider ses décisions d’actions.

La fierté du métier

Comme disait ma grand-mère il n’y a pas de « sot métier », tous sont utiles à chacun. Le chef doit confirmer à chacun de ses collaborateurs qu’il a un rôle à jouer en conformité avec sa fiche de poste, mais aussi en tant que membre d’une équipe, d’une communauté d’intérêts. Ainsi, en période de crise le chef peut découvrir des ressources insoupçonnées chez ses collaborateurs. Avec le Covid-19 il se peut que vous découvriez des personnes qui ont des notions d’infirmiers ou d’hygiénistes et moins directement des « inventeurs-créatifs » qui vont avoir un sens pratique pour adapter un poste de travail aux contraintes des gestes barrières… tout actif être aime actif. Le confinement ou l’inactivité n’est pas une situation confortable sociologiquement et psychologiquement. Impliquez tous vos collaborateurs et rassemblez toutes les initiatives qui peuvent être sources et solution de progrès, durant la crise mais après aussi.

La reconnaissance du salarié

Souplesse, adaptation ne sont pas forcément les maitres mots de tous. Ceux qui vont vous démontrer leur motivation dans l’implication commune pour assurer les intérêts partagés (et pas simplement les leurs) doivent recevoir les marques de votre reconnaissance et surtout aussi de celles de tous les autres (qui en ont bénéficié ou pas). La reconnaissance au travail est l’un des tout premiers facteurs de motivation et, face à une crise en cours ou terminée, la principale attente (consciente ou inconsciente).

L’exemple du Chef

L’exemplarité du Chef est, en période de crise primordiale. Cela ne veut pas dire imposer une « marche forcée » à ceux qui n’ont pas la motivation de le faire en raison de leurs craintes. La confiance cela se gagne et se mérite. Si vous n’arrivez pas à devenir un modèle que l’on a envie de suivre, d’accompagner, de ne pas laisser tomber…. il faut respecter et protéger (pour le coup, un peu comme un officier militaire face aux troupes) son équipe des risques (ici sanitaire et psychologique) pour renforcer l’adhésion au groupe. Ce sont parfois les plus petites attentions cumulées qui font la différence et non les décisions peu cohérentes et impératives. Il n’est pas évident de prendre du recul sur son mode de management, alors il ne faut pas hésiter à solliciter des avis extérieur et obtenir un feedback d’un regard extérieur. C’est en période de crise qu’un management participatif est un atout pour faire face.

Télétravail ou pas ? Il faut être conscient que généralement les actifs en télétravail sont hyper productif car ils ont moins de sollicitations perturbatrices. Pour autant il faut trouver un bon équilibre en distanciel et présentiel pour équilibrer le besoin de contact social, avec du contact à distance (merci internet et les solutions de téléphonie et de vidéo).

Ce qu’il faut éviter : le droit de retrait ! Il est préférable de trouver des missions nouvelles qui seront utiles à tous, et qui sembleront plus « safe« , plus acceptables. Si toutefois les personnes concernées ne se sentent pas capables de faire face au danger estimé, il devient complexe de maintenir du lien, mais pas impossible de prendre des mesures adaptées. Une crise est toujours transitoire car limitée dans le temps.


Et vous, qu’avez-vous mis en place en matière de communication vers vos équipes ?

Pour vous, qui est votre « buyer persona » ?

L’expression « buyer persona » désigne en fait le « profil d’acheteur ». Il est une représentation abstraite du client parfait. Le profileur qui va le décrire va se baser sur des données qualitatives (et comportementales) et voir comment on peut transposer vers des informations quantitatives (tailles populations, résultats de sondages….). On peut aussi exploiter sa data de CRM donc de profils de clients existants réellement.


Définir pour un produit, une gamme de produits, sa marque le ou les descriptif de votre buyer persona repose sur l’envie de savoir prendre de meilleures décisions en matière d’actions commerciales, marketing ou tout simplement de communication.
Trop souvent on attend des professionnels de la communication de le faire à la place de ceux qui interviennent en amont. En décrivant l’audience potentielle d’une campagne de communication, votre agence de pub l’intègre dans votre cible commerciale et donc, dans les sphères de cibles de communication. Pourtant, vos consultants en marketing auraient probablement dû mettre en place des outils et capteurs capables de générer un relevé d’informations pouvant être utilisées ensuite pour prendre des décisions éclairées et vous aider à faire des investissements plus pertinents.

Concrètement votre buyer persona est la représentation semi-fictionnelle et semi-réelle de votre client idéal. Vous devez par conséquent faire sa carte d’identité associée à sa biographie complète (son parcours, ses études, ses habitudes, ses préférences, ce qu’il déteste….) et au maximum de critères psychosociologiques (motivations, objectifs…).

Pourquoi devriez-vous consacrer du temps ou de l’énergie à construire et maintenir à jour vos informations sur votre Buyer Persona ?
Tout simplement parce que c’est votre marché qui est l’enjeu. Certains vous diront même que le développement du business et des activités proviennent principalement de la connaissance de vos acheteurs, plus que de vos capacité à informer les influenceurs et vos audiences intermédiaires.

Pourquoi le digital est une source géniale ?
Vous pouvez aujourd’hui collecter de l’info de vos nouveaux prospects ou de vos clients fidèles en ligne. Alors pourquoi ne pas nous demander de monter vos sondages en ligne qui vous aideront à mettre à vous ce que vous saviez ou pensiez savoir à propos de votre marché ?
Notre créativité associée aux champs de compétence en marketing fondamentale ouvriront des perspectives sur des types de contenu à créer, des optimisations du tunnel de transformation, identifier de nouveaux de gisements de leads ou d’acquisition….

exemple milieu financier

Marketing et l’année 2020…

Histoire d’anticiper l’année prochaine, L’atelier cortical vous propose un retour en arrière !

> Que disait-on en 2016 sur l’année 2020 ? (cf les 3 citations ci-dessous)

> A 6 mois de l’échéance, notre avis.

Magasin, boutique et site web

Citation 1

La fin de la communication de masse

D’ici 2020, les marketeurs s’attendent à de plus en plus d’interactions directes avec leurs clients à travers la technologie et la personnalisation, et non plus de manière indirecte par le biais des médias et de la publicité.

Interrogés sur les principaux canaux de contact privilégiés par leur entreprise d’ici 2020, 63% des répondants citent les réseaux sociaux, 53% le web, 47% les applications mobiles et 46% les sites mobiles.

 

Citation 2

L’avènement du marketing technologique

L’édition 2016 de ce rapport, intitulée « The Path to 2020: Marketers Seize the Customer Experience », étudie en détail la façon dont les consommateurs interagissent avec les marques aujourd’hui et l’impact que cela aura sur les stratégies marketing à l’horizon 2020.

Premier constat: le marketing se complexifie.

« La rapidité avec laquelle les technologies évoluent permet aux clients d’engager avec les marques sur une multitude de nouveaux canaux en temps réel, ce qui produit des milliards de points de contact possibles », explique Sanjay Dholakia, directeur marketing de Marketo.

Plus de la moitié des marketeurs interrogés considèrent ainsi que l’accélération des évolutions technologiques et des usages mobiles combinés à l’explosion des canaux marketing via l’Internet des Objets seront à l’origine de l’évolution du marketing d’ici 2020.

 

Citation 3

Priorité à l’expérience client

Parmi les enjeux stratégiques identifiés par l’étude, la relation client et l’acquisition client seront moins importantes en 2020 qu’actuellement.

Si l’acquisition de nouveaux clients et la fidélisation feront bien sûr toujours partie des priorités stratégiques des marketeurs ces prochaines années, elles seront talonnées de très près par le besoin de créer et de soutenir de nouvelles technologies conçues pour mieux engager les audiences.

Mobile, personnalisation, IoT ou encore prédictif et big data seront donc logiquement les technologies qui auront le plus d’impact pour les services marketing d’ici 2020.

 

agence de presse cortical

Notre avis sur ces prévisions !

 

> La fin des médias de masse, financés par la publicité.

« à partir du moment où il y a des ponts et des avions, les gens ne prendront plus le bateau« … oui, il y a des changements de paradigmes, toutefois les médias de masse sont nécessaires dans une société où, la transmission de l’information politique et économique doit pouvoir impacter le plus grand nombre en diffusant 1 seul message. De fait, la dilution des audiences des médias de masse se retrouve dans les médias de niches et dans les supports du digital permettant un contact direct. Pour autant la consommation d’information ne cesse de croitre.

La tarification publicitaire des « grands médias » a bougé ces dernières années, mais il y a encore une puissance et une affinité via leur canal qui permet de mener des campagnes efficaces.

Les cibles ont envie de pouvoir accéder à l’information gratuitement, ce qui implique des sources de financement alternatives à l’abonnement, au pay-per-view…

 

> Le marketing technologique : un métier complexe !

« si je suis un expert spécialiste, mon métier est complexe » … peu importe les époques ou les noms que l’on donne aux spécialités entrant en ligne de compte dans les variables d’un bon plan marketing, le marketing doit suivre les évolutions de comportement du marché, donc, des gens qui le font.
Vous l’avez compris, à partir du moment où l’on a déjà écrit dans le marbre des stratégies marketing l’existence d’action en one-to-one, on a stimulé l’envie d’agir via des outils qui sont destinés à contacter 1 seul individu à la fois. Les technologies nous le permettaient via les bases de données et le marketing direct déjà dans les années 1980/1990… l’intelligence artificielle va nous aider à traiter les contacts et le suivi, mais toujours en exploitant des modélisations par groupe de comportements que l’on pourra croiser, agglomérer etc.
Bref le marketing reste une analyse faite par des hommes pour atteindre d’autres hommes. Les machines et les canaux employés pour atteindre ces objectifs devront être juste maitrisés par les professionnels du marketing. L’homme de marketing a déjà su évoluer, il doit savoir anticiper, être un précurseur et il doit arriver à comprendre que, la solution n’est pas dans l’outil, mais bien dans sa capacité à adapter l’outil aux besoins de son client !

 

> L’expérience client, le vrai enjeu !

« mon arrière-grand-mère disait dans sont épicerie (entre les deux guerres) : ici le client est Roi » … le bon sens, rien que le bon sens et toujours le bon sens ! Lorsqu’il s’agit de conquérir de nouveaux clients ou de fidéliser pour éviter de perdre, le bon sens est de savoir démontrer à celui-ci qu’il a fait le bon choix et que de revenir vers nous est une solution rationnelle car il est satisfait de son expérience et qu’il a raison de la renouveler. Après, que ce soit dans un point de vente, ou derrière l’écran de son mobile, tablette, ordi…. peu importe, son expérience avec votre marque doit le conforter dans son choix, l’aider à agir simplement, lui donner envie de renouveler son acte envers votre marque.  Du coup, c’est à vous de faire les bons choix marketing !

Le regard sur soi…. jemaméliore.com

cible

En communication commerciale on parle souvent des comportements des consommateurs. Les journalistes de la grande presse racontent même que les publicitaires sont des manipulateurs qui adorent intervenir sur le cerveau de la ménagère de moins de 50 ans ou celui des petits zenfants !

Faut-il oublier pour autant que tout individu est un libre penseur ? Oui, nos comportements sont souvent liés à notre éducation, nos expériences, l’envie de faire partie d’un groupe ou au contraire se sentir en dehors des principaux groupes sociaux que les stratèges de la pub caractérisent, identifient, classifient. Pourquoi font-ils cela, ces professionnels de la communication ? Simplement parce que c’est leur métier de créer des messages qui vont attirer l’attention et pourquoi pas séduire des personnes ciblées…. Alors oui, il est difficile pour tout un chacun de se contrôler pour savoir pourquoi on fait ceci ou cela, que l’on veut faire du sport ou de la musique et puis subitement on préfère aller au restaurant se régaler alors que d’autres jours on affirme que manger est une perte de temps et qu’il faut aller toujours plus vite. Les sciences humaines sont complexes, les influenceurs (le pouvoir, les médias, la rue, l’internet…) sont eux-même des phénomènes de mode polymorphiques qui contribuent à la sommes des données qu’un cerveau humain peut détecter, analyser, choisir d’exploiter ou non…

… vous l’aurez compris, ces publicitaires cherchent à vous connaitre, à vous comprendre, à entrer en communication avec vous, à vous faire rire, à vous émouvoir et plus si affinité (capacité d’une cible à être proche de la cible commerciale, lol), tout autant que le journaliste qui réclame sa part de pouvoir dans les enjeux de la vérité pour la bonne santé de la société…

Une fois n’est pas coutume ici, mais nous allons vous recommander 2 sites internet qui sont destinés au Développement Personnel.
Connais-toi toi-même, et merci de respecter le travail des gens de la communication ou du marketing (mesdames, messieurs les journalistes! #ArrêteDeNousCritiquer)

En savoir [+] : visiter la rubrique Je m’améliore TV mais aussi celui de l’Académie de la Nouvelle Vie

Pourquoi choisir une niche ?

Les gens du marketing, de la distribution, évoquent parfois le terme de « marché de niche » soit pour vous faire comprendre que ce n’est pas une opportunité de taille suffisante, soit au contraire, pour vous indiquer que c’est un marché exploitable avec une stratégie gagnante pour un acteur de taille moyenne.


N’attendez pas de réaliser de grands volumes sur un marché de niche, mais pour autant il peut s’avérer plus rentable qu’un mass-market. Une niche bien identifiée et bien gérée représente un gisement en chiffre d’affaires si vous pouvez atteindre un point d’équilibre grâce à la souplesse de votre structure.

L’avantage premier

Construire une offre, pour un nombre réduit de clients potentiels, avec une durée de propagation de l’offre qui se doit d’être stratégique. Nous ne sommes pas dans le one-to-one, ou le one-to-all, mais dans le one-to-few. La mise de départ nécessite des moyens limités et adaptés. La vision à moyen terme est une des clés pour savoir faire évoluer la montée en puissance d’occupation de la niche.

Un des risques…

Vous serez observé par les occupants actuels du marché plus large répondant partiellement à la demande du marché de niche. De fait, il faut éviter que vos atouts puissent être copier-coller par les acteurs puissants du secteur qui sauront rapidement diviser et segmenter pour se positionner sur votre niche, celle que vous aurez pris la peine de défricher à leur place.

Que faire alors ?

Faire appel à un cabinet de consulting qui aura une vision extérieure et pourra vous guider dans le challenge qui se présente à vous. Sinon, il faut parfois savoir prendre des risques et foncer vers un possible succès !

Faire appel au Micro Service

Idées de nouveaux business


Faire appel à des entreprises de conseils, à des consultants peut être effrayant pour une personne qui veut lancer son activité. Pourtant elle a besoin de s’entourer pour limiter les risques et bénéficier de l’expérience et des savoirs de ces experts.

La solution pour mettre le pied à l’étrier a été trouvée : une plateforme web d’offres de microservices. En permettant d’acheter des offres packagées, le consultant « vérrouile » les limites du temps passé pour réaliser le service, le client dispose d’un descriptif qui lui permet de cerner ce que le service va lui apporter concrètement. Cette relation gagnant-gagnant vous pouvez la trouver sur 5euros.com qui vient de se lancer.

Vous avez un business de service que vous souhaitez développer via internet ? Enregistrez-vous pour vendre plus !
Vous êtes porteur de projet à la création d’entreprise et vous aimeriez faire appel à des microservices pour mettre le plus d’atouts de votre côté ? Faites attention à la qualité de l’offre (parfois au lieu d’un service on vous vend un tuto ou un livre digital voir juste une liste rédigée identique pour tout le monde – donc pas vraiment un service adapté à votre situation).

Pourquoi citer une plateforme où l’on trouve des services concurrentiels ?

Deux ou trois raisons à cela.
Un entrepreneur qui démarre a besoin de trouver des astuces et de bons plans pour ne pas surcharger ses dépenses avant même d’avoir commencé à facturer.
Un entrepreneur qui fait appel aux microservices pourra envisager un peu plus d’accompagnement dès que sa surface financière sera plus adaptée à ce type d’investissements.
L’atelier cortical envisageait déjà une approche similaire dès 2010 et il y a eu d’autres priorités à gérer. Bravo à cette initiative et à ceux qui feront des plateformes similaires ou intégreront les microservices dans leurs offres et positionnement commercial.


Génération Y ou bien Millennials ? Et les autres générations…

cible

Vous avez forcément entendu parler de ce groupe de population que l’on nomme « La Génération Y« .
Ils sont 20% dans la population française et sont des consommateurs ou collaborateurs dans les entreprises… et on les appellent aussi les millennials.

Officiellement, ils sont nés entre 1978 et 1994, alors dans leur univers les 2 parents (ou plus si famille recomposée) travaillent pour leur permettre de poursuivre des études supérieures, peuvent connaître plusieurs générations dans leur propre famille (grands-parents baby boomer, parents de la génération X… et des arrières-grands-parents ou arrières grands-oncles et tantes qui font partis des 5 millions de français de la génération silencieuse née dans les années 1930…).

Bref, la sociologie de toutes ces générations qui coexistent est complexe et provoque des partagent des comportements étonnant voir détonnant. La génération silencieuse se met à l’usage des smartphones et des tablettes, quand la génération X reste attachée à naviguer entre ordinateur et smarTV en se demandant si TanguY de la génération Z (née entre 1995 et 2015) va repousser les limites du départ vers l’indépendance car l’emploi n’est plus obligatoire à la sortie des études supérieures même complétée par une forme d’expérience dans un pays étranger

Alors oui la génération Z compte déjà de très nombreux prescripteurs, mais pour l’instant on hésite à l’appeler la génération C, pour Communication… alors qu’elle représente pour autant un pouvoir de Consommation non-négligeable et que certains ont envie d’appeler la nouvelle génération silencieuse de part leur grande capacité à observer et intégrer les comportements des 4 générations qui les précèdent.

Les sociologues vont rapidement nous aider à voir plus clair dans les différences comportementales entre toutes ces générations qui n’ont rien de spontanées.

@suivre