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Il y a 120 ans, les frères lumières déposent le brevet

Freres_Lumiere

Créer un nouveau produit peut parfois créer un secteur économique, provoquer une révolution dans la transmission des connaissances, voir même développer un nouveau sens artistique.

Le 13 février 1895, Louis et Auguste Lumière, fils d’Antoine Lumière (peintre portraitiste et photographe) déposent le brevet de ce qui va devenir la base de l’industrie du cinéma.

Leur invention fait suite à celle d’Edison, le Kinétoscope (1891), qui donne du mouvement à la photo et avant celle de Léon Gaumont qui ajoute, en 1902, le son synchronisé (dans un premier temps de la musique).

Tout va s’accélérer et s’organiser de 1895 à 1917 environ.

#cinema #invention #entreprise #120ans

 

 

Zone Franche – Quand management et culture se rencontrent

Zone franche

Zone Franche – Quand management et culture se rencontrent – Gilles Martin

Confronté à un problème nouveau, le scientifique commence par se demander : « A quoi ça ressemble ? »  Si rien ne lui vient à l’esprit, il pose la question à des collègues de spécialités voisines, ou quelquefois même éloignées. La recherche progresse ainsi par emprunt à d’autres disciplines.

Cette fertilisation croisée des compétences est aussi au cœur du processus d’innovation des entreprises. On la retrouve dans la démarche des consultants : devant une situation nouvelle, le consultant commence souvent par rechercher des ressemblances avec des problématiques qu’il a déjà rencontrées.

Parfois, à la façon des chercheurs qui sortent de leurs laboratoires, c’est en dehors de la pratique managériale que les consultants découvrent les meilleures clés de compréhension des cas qu’ils ont à traiter. Il arrive que les leçons de l’Histoire, les références cinématographiques, l’expérience des grands hommes, expliquent mieux que les rapports d’audit ce qui se passe dans l’entreprise.

Depuis 2005, Gilles Martin tire régulièrement sur son blog les enseignements utiles au management que lui inspirent ses lectures, la vie culturelle et le débat des idées. La liberté de l’intellectuel et le réalisme du consultant font bon ménage dans la « zone franche » que constitue son blog : la plupart de ses chroniques n’ont rien perdu de leur actualité. Comme le bon vin, certaines gagnent même en profondeur avec le recul.

Choisis parmi les plus éloquents, actualisés et enrichis, les billets que réunit ici Gilles Martin illustrent l’intérêt de sortir du champ strictement professionnel quand on veut, en entreprise,  trouver des idées neuves.

Portrait :

HEC et DEA de Droit des affaires, Gilles Martin est consultant et entrepreneur.
Ancien Partner de KPMG Peat Marwick et de CSC, il est président de PMP, le cabinet de conseil en stratégie et management qu’il a co-fondé avec ses associés en 2003. Il est aussi actionnaire et business angel d’entreprises start-up innovantes. gillesmartin.blogs.com

Éditions du Palio
Langue : Français
Prix : 21,50 euros
Pages : 242 pages (broché)
Format : 14,5 x 22 cm
Infographie et PAO : L’atelier cortical
Diffusion / Distribution : Sodis (723-243-7)
ISBN : 978-2-35449-047-8

> Se procurer ce livre via internet : Amazon – Fnac

Inspiration

DJ ZEBRA, TEDxRennes un talk sur “Rien n’est sacré, tout est possible”


Prendre une vingtaine de minutes pour écouter ce talk, certes d’un musicien DJ, mais dont la culture n’est pas que musicale.
Prenez le temps de stimuler votre créativité…. tout est possible, quand c’est bien fait !

Une révolution dans la formation supérieure : 42.fr

informatique entreprise

Oui, pour réussir dans la vie on nous explique qu’il faut bien travailler à l’école et ce n’est pas faux !

Oui on nous dit qu’il faut assurer sur le plan financier si on veut notamment pouvoir êtr en mesure de payer des études valables à nos enfants (pourtant il semblait que l’école devait être libre et gratuite…puis on a fixé des limites).

Alors ceux qui ont fait et qui vivent la révolution des nouvelles technologies viennent d’inventer l’école des élites numériques, avec un accès gratuit ! Et pourquoi il serait possible de faire des logiciels “gratuits” sans que l’économie de la formation des techniciens du numérique ne puisse pas êtr elle aussi en accès libre ?

Le projet 42 est né… pour en savoir plus : http://www.42.fr/ledito-de-nicolas-sadirac/

woodfireles technologies évoluent et le système éducatif et de formation doit suivre !

Comment devenir un bon rédacteur web ?

De nombreux systèmes permettent aujourd’hui aux collaborateurs d’une entreprise de gérer le contenu rédactionnel de site ou de blog… toutefois on peut se demander si ces personnes, volontaires, impliquées sont de bonnes garantes de la gestion de l’image de l’entreprise et surtout si leurs productions rédactionnelles contribue réellement à l’optimisation de la visibilité de la marque via l’internet.

Par conséquent il devient primordial d’accompagner la formation des rédacteurs web des entreprises qui font le choix d’exploiter des CMS (Content Manager System).

Effectivement, la rédaction de contenu est nécessaire à la bonne animation de toute publication (imprimée ou multimédia). La maitrise du langage écrit est certes, un pré-requis pour ce genre de mission, mais en étant au service de l’image de marque de votre entreprise, de nombreuses subtilités liées au fonctionnement d’internet, des moteurs de recherches pour le référencement….. mérite d’investir en formation pour que vos collaborateurs puissent agir en connaissances de cause.

Une solution intermédiaire peut aussi  reposer sur le choix, pour l’animation d’une partie de vos contenus éditoriaux, de faire  appel à des rédacteurs spécialisés dans le contenu web comme celle de  CMAPRESS. Aujourd’hui il ne faut pas hésiter à constituer des équipes d’animations mélant ressources internes et spécialistes externes, les premiers maitrisant le fond et les second la forme particulière liée au web.

Origine des marques : Maggi

L’invention de Julius Maggi en 1885 va donner vie à l’entreprise éponyme en 1886 !
Né en 1846, Julius Maggi à l’envie au fil du temps d’inventer, d’innover. Alors que la révolution industrielle est en marche, il veut proposer aux ouvriers un plat nourrissant, rapide et peu onéreux. De plus, dans les usines, nombreuses sont les femmes  travaillent et, de fait, disposent de moins de temps pour cuisiner. Julius Maggi trouve une solution en inventant des soupes en sachets.

Pour continuer dans sa lancé, Julius Maggi met au point une “recette secrète” destinée à assaisonner les bouillons et les potages. Il lance donc son Arôme Saveur en 1887 ! Sa dernière innovation arrivera sur le marché en 1908 (4 ans avant sa mort) : le bouillon KUB.

Ensuite la société continuera en lançant notamment la purée Mousline en 1963 ou plus recemment le système de papillotes (en 2010) destiné à cuisiner le poulet.

Lettre en 3D et ombrées…. sur plaque émaillée !

Faut-il ou non ? …ne pas jeter sur la voie publique…

Question : Que dit la loi à propos de la fameuse mention “ne pas jeter sur la voie publique” que l’on trouve sur les prospectus, dépliant et autres flyers ?

Réponse : Ce qui est obligatoire c’est la mention d’identification de l’imprimeur qui a réalisé le document, ou bien le studio graphique, l’agence de communication… car les documents se trouvant sur la voie publique font l’objet des articles R.632-1 et R. 635-8 du code pénal. De ce fait la mention “ne pas jeter sur la voie publique” vous dégage partiellement et vous permettra de vous défendre dans le cas où vos documents seraient abandonnés sur la voie publique. Cela vous permet juste d’attester de votre bonne foi et de montrer que vous avez incité le public à respecter la loi et l’environnement.

Le conseil plus : attention il est interdit de distribuer des prospectus aux conducteurs ou aux occupants de véhicules circulant sur la voie publique (article R.412-52 du Code de la route).

Astuces rédactionnelles…

Vous vous souvenez probablement de la phrase “Mais où est donc or ni car”… cet outil mnémotechnique pour se rappeler la liste des conjonctions de coordination.

Mais qui connais d’autres phrases de ce type ?

 

– Les prépositions : “Adam par pour Anvers avec deux cents sous” = A, dans, par, pour, en, vers, avec, de, sans, sous

– Le chapeau de la cime est tombé dans l’abîme.

– Courir ne prend qu’un “r” … car on manque d’air en courant, mais lorsque l’on arrive (deux “r”) on prend tout l’air que l’on peut.

– Nourrir prend deux “r”  car on mange plusieurs fois dans la journée.

 

@suivre

 

 

Adam part pour Anvers avec deux cents sous.


 


Le téléphone à cadran…

Souvenez-vous, le 22 à Asnière ! C’est un sketche célèbre de Fernand Raynaud, oui un comique célèbre dans les années 1950, 1960…

Justement, savez-vous qu’en France, il existait une multitude de centraux téléphoniques où travaillaient “les jeunes filles du téléphone”. A l’époque, les téléphones pouvaient être à manivelle, et pour joindre un correspondant vous deviez connaître son numéro (à 2 chiffres par exemple),  que l’opératrice vous réponde, qu’elle appelle l’opératrice du standard le plus proche de votre correspondant et que les deux opératrices branchent les fiches pour relier les deux lignes, celle de votre correspondant et la votre !

C’est donc dans les années 1970, avec le déploiement complet des standards automatique qu’en France,  que le téléphone dispose d’un cadran rotatif (puis à touches), vous permettant de composer vous-même le numéro.

Aujourd’hui certains téléphone mobile vous propose d’écrire des SMS, c’est à dire des messages de 160 caractères à l’aides des touches de 0 à 9 du téléphone. Saviez-vous que cette logique était déjà là avec les téléphones à cadran ?
Effectivement, pour joindre un correspondant on pouvait, dès 1912, indiquer les 3 premières lettres du central téléphonique dont il dépendant (O-D-E pour le central ODEON à Paris par exemple) puis les 2 ou 3 ou 4 chiffres (qui correspondaient à son “ordre d’abonnement”, exemple le 169ème abonné du central). Du coup les téléphones à cadran rotatif ont toujours eu une fonction de codage de lettres !