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Crise économique ? CLM BBDO France ferme…

BBDO Paris, connue sous le nom de CLM BBDO, agence mythique pour de nombreux créatifs de la pub annonce sa fermeture après plusieurs décennies de bons et joyeux services.

On doit aux équipes de cette enseigne du réseau Omnicom quelques-unes des campagnes marquantes de l’histoire de la publicité française pour des marques nationales et internationales fortes telles Apple, Eram, Kookaï, Mamie Nova, Mercedes, Total, Tropicana

Le covid, la perte de budgets en 2019 et en 2020, et notamment celui qui représentait alors presque la moitié du chiffre d’affaires de l’agence, le groupe Mars ont eu raison de cette belle structure. Souhaitons que les anciens de cette agence qui se trouvent actuellement actifs dans d’autres réseaux puissent essaimer les 57 personnes à la recherche de nouveaux challenges.
Dommage qu’il ne s’agisse pas d’un scénario similaire avec belle action.

Coronavirus et communication interne !

La crise sanitaire qui se propage dans le monde ne doit pas faire oublier aux chefs d’entreprises que l’humain est au cœur de leurs atouts.

question coronavirus covid 19

Lorsque la vie semble être grandement en danger, chaque être humain a tendance à réagir selon ses propres critères de priorités. La situation actuelle peut, au-delà des conséquences humaines directes, impacter les activités d’entreprises, quels que soient leurs niveaux ou types de structure.

De surcroit, dans le monde actuel avec la rapidité de circulation des bonnes et des mauvaises informations (fake news) les salariés, les collaborateurs, les agents ont le droit de s’inquiéter de tout ce qui se dit. Dans un tel contexte, le chef (cadres, dirigeants, fondateurs, directeurs, président, administrateurs…) se doit de rassurer l’interne avant même de songer à l’externe qui pourtant risque de le solliciter très rapidement. Le chef peut compter sur 2 à 3 orientations stratégique pour guider ses décisions d’actions.

La fierté du métier

Comme disait ma grand-mère il n’y a pas de « sot métier », tous sont utiles à chacun. Le chef doit confirmer à chacun de ses collaborateurs qu’il a un rôle à jouer en conformité avec sa fiche de poste, mais aussi en tant que membre d’une équipe, d’une communauté d’intérêts. Ainsi, en période de crise le chef peut découvrir des ressources insoupçonnées chez ses collaborateurs. Avec le Covid-19 il se peut que vous découvriez des personnes qui ont des notions d’infirmiers ou d’hygiénistes et moins directement des « inventeurs-créatifs » qui vont avoir un sens pratique pour adapter un poste de travail aux contraintes des gestes barrières… tout actif être aime actif. Le confinement ou l’inactivité n’est pas une situation confortable sociologiquement et psychologiquement. Impliquez tous vos collaborateurs et rassemblez toutes les initiatives qui peuvent être sources et solution de progrès, durant la crise mais après aussi.

La reconnaissance du salarié

Souplesse, adaptation ne sont pas forcément les maitres mots de tous. Ceux qui vont vous démontrer leur motivation dans l’implication commune pour assurer les intérêts partagés (et pas simplement les leurs) doivent recevoir les marques de votre reconnaissance et surtout aussi de celles de tous les autres (qui en ont bénéficié ou pas). La reconnaissance au travail est l’un des tout premiers facteurs de motivation et, face à une crise en cours ou terminée, la principale attente (consciente ou inconsciente).

L’exemple du Chef

L’exemplarité du Chef est, en période de crise primordiale. Cela ne veut pas dire imposer une « marche forcée » à ceux qui n’ont pas la motivation de le faire en raison de leurs craintes. La confiance cela se gagne et se mérite. Si vous n’arrivez pas à devenir un modèle que l’on a envie de suivre, d’accompagner, de ne pas laisser tomber…. il faut respecter et protéger (pour le coup, un peu comme un officier militaire face aux troupes) son équipe des risques (ici sanitaire et psychologique) pour renforcer l’adhésion au groupe. Ce sont parfois les plus petites attentions cumulées qui font la différence et non les décisions peu cohérentes et impératives. Il n’est pas évident de prendre du recul sur son mode de management, alors il ne faut pas hésiter à solliciter des avis extérieur et obtenir un feedback d’un regard extérieur. C’est en période de crise qu’un management participatif est un atout pour faire face.

Télétravail ou pas ? Il faut être conscient que généralement les actifs en télétravail sont hyper productif car ils ont moins de sollicitations perturbatrices. Pour autant il faut trouver un bon équilibre en distanciel et présentiel pour équilibrer le besoin de contact social, avec du contact à distance (merci internet et les solutions de téléphonie et de vidéo).

Ce qu’il faut éviter : le droit de retrait ! Il est préférable de trouver des missions nouvelles qui seront utiles à tous, et qui sembleront plus « safe« , plus acceptables. Si toutefois les personnes concernées ne se sentent pas capables de faire face au danger estimé, il devient complexe de maintenir du lien, mais pas impossible de prendre des mesures adaptées. Une crise est toujours transitoire car limitée dans le temps.


Et vous, qu’avez-vous mis en place en matière de communication vers vos équipes ?

Vous a-t-on parlé de la directive ePrivacy ?

L’UE a la volonté depuis plusieurs années, pour protéger les consommateurs et donc les internautes, d’uniformiser au sein du marché unique les règles. Concernant celles relatives à la protection des données, la directive ePrivacy est en pourparlers afin de mieux gérer notamment l’usage des cookies sur les sites web en s’appuyant sur les orientations engagées avec la RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) de 2018.
Actuellement la directive ePrivacy n’a pas franchi le cap d’un texte définitif, et il n’y a pas de calendrier précis. Elle va renforcer le marché unique numérique (MUN) en stimulant la confiance des consommateurs par une meilleure protection dans l’usage du web.

Union Européenne UE

La Directive ePrivacy, c’est quoi ?

C’est un ensemble de règles destinées à renforcer la protection des données sur les citoyens européens, et que l’on peut qualifier de privées tout en circulant en ligne.

Elle va impacter fortement l’ensemble de l’industrie du numérique en touchant les entreprises dans leurs obligations ainsi que les éditeurs de logiciels et d’applications du digital.

Le principal fait important de la directive sera dans l’utilisation des cookies. Le rejet facilité des cookies pour tous les visiteurs de site web, ne devra pas pour autant empêcher leur consultation (opt-out = accès malgré tout).
L’opt-in devient la règle pour l’entreprise qui va déposer des cookies sur la machine de l’internaute.

Autre impact : les éditeurs de logiciel de navigation sur internet vont devoir, si ce n’est déjà fait, suivre la logique de l’option « DNT, do not track » dans l’en-tête. Ainsi l’internaute indique de façon généralisée, en surfant sur le net, qu’il ne souhaite pas subir de tracking. Cette possibilité a été vue par le W3C (World Wide Web Consortium) et c’est déjà pris en charge par les principaux navigateurs web.

Il n’y a pas que les entreprises qui sont impactées par la directive ePrivacy, les gouvernements de l’UE aussi. Le chiffrement de bout en bout devrait devenir aussi la règle, et les États ne devront plus avoir de « backdoor » fourni par les fabricants et les éditeurs.

La directive ePrivacy est donc très impactantes dans les démarches de marketing direct via les sites web, mais elle devrait aussi prendre en compte les informations et les pratiques également du démarchage téléphonique aussi.

w3c

La ePrivacy face aux anciennes règlementations

Les directives ne sont pas à proprement parler des lois. Chaque pays de l’EU peut reprendre les orientations d’une directive européenne pour adapter le contexte légal de son pays. Il est évident que l’internet et le web sont « hors-frontière » et ce n’est pas pour autant que les acteurs du web doivent agir en « hors-la-loi ». La communauté du marché unique européen a déjà impulsé des avancées en matière de règles sur le net, notamment en 2009 avec la « directive cookie » (2009/136/CE) et aussi celle de 2002 (2002/58/CE). La directive ePrivacy sera probablement la plus précise pour fixer une orientation apportant plus d’éthique dans les pratiques loyales entre les consommateurs et les acteurs du MUN.

La RGPD a été une grande étape dans laquelle la directive ePrivacy va prendre part dès 2021 et il faut que les entreprises anticipent au mieux sont arrivée pour organiser leurs approches de marketing direct et de traçage de leurs prospects et clients via le net.

Il faut aussi que les médias du web puissent s’organiser pour fournir des statistiques d’audiences et/ou que leurs modèles économiques ne soient pas impactés par la fin de certains marchés qu’ils exploitaient par l’absence de règles.


cnil

En savoir plus sur les notions de : cookies et traceur (site de la CNIL)


Qui veut être mon associé ?

Ceci est le titre de la prochaine émission Tv qui sera présentée par Julien COURBET sur M6.

Son principe : montrer dans une émission comment des porteurs de projet à la création d’entreprise peuvent arriver à séduire un jury d’investisseurs.
Voilà une idée d’émission TV qui semble se positionner entre l’info économique (valoriser des projets et les personnes qui en sont à l’origine) et le business spectacle (l’investisseur qui a l’expérience de l’entreprenariat et cherche à détecter des opportunités tout en se montrant à la caméra).

L’expérience nous montre que les projet innovants ont souvent besoin de discrétion en phase préparatoire. Pour autant montrer l’aventure que représente la création d’une entreprise avec le fait de compter sur les banques pour rester autonome (sic) n’est pas que la seule solution…. il y a aussi les investisseurs qui peuvent devenir des associés (plus ou moins exigeants).

Bref, de notre côté il y a aussi une solution régionale qui existe. Connaissez-vous l’action en Nouvelle-Aquitaine accessible depuis le site fundmeup.fr   ? Il s’adresse autant aux entrepreneurs qu’aux investisseurs. Vous y trouverez des informations pratiques et utiles et pourrez utiliser la plateforme pour valoriser votre projet ou trouver des opportunités d’investissement.
Ce site est édité par l’Agence de Développement et d’Innovation Nouvelle-Aquitaine pour soutenir le renforcement des activités économiques de la Région.

https://www.fundmeup.fr

#projetcreationdentreprise #nouvelleaquitaine #fundmeup #investisseur #createur #jemontemaboite

La Plateforme d’offres : PROG Online

Booster votre action commerciale par une présence sur les places de marché en ligne

Aujourd’hui il existe de nombreuses places de marchés en ligne.
Le principe est simple. Quelqu’un souhaite trouver un fournisseur, un prestataire. Il met une offre de marché en ligne et sélectionne celui qui lui semble être le plus à même de répondre à son besoin.

Il y a, chaque jour, de nombreuses entreprises, de toutes sortes et de toutes dimensions qui recherchent des fournisseurs. Il y a quelques dizaine d’années, les annuaires spécialisés avaient une activités florissante. Aujourd’hui tous ces annuaires se retrouvent être sur le web. Les opérateurs ont parfois changés, d’autres ont su s’adapter. Malgré tout, il y a un marché, pour les places de marché en ligne !

 

« PROG Online : la plateforme leader pour les projets informatiques et web »

Prenons l’exemple de PROG Online. Son nom est évocateur : « PROG » car il s’agit de rassemble des milliers de programmeurs informatiques capables de développer des solutions pour les entreprises. Avec le temps, la convergence des compétences fait que sur cette plateforme, les annonceurs, c’est-à-dire ceux qui recherchent des fournisseurs, déposent des appels d’offres gratuitement (une fois qu’ils ont renseigné leur compte sur le site) pour des demandes de prestations informatiques ou aussi de communication digitale.
Les prestataires eux, doivent payer un abonnement pour disposer des coordonnées de l’entreprise à la recherche d’un fournisseur. Ainsi, ils reçoivent des alertes et peuvent se positionner afin d’accéder au cahier des charges de la demande, et si cela correspond à leurs champs de compétences, ils peuvent soumettre une proposition.

 

Limites des places de marchés en ligne

Il faut bien choisir la ou les plateforme où vous inscrivez. Certaines sont fiables, sont une véritable force commerciale pour vous. Et puis il y a aussi celles qui se contente de rassembler des appels d’offres qui circulent déjà ailleurs et donc l’accès est gratuit. Dans ce dernier cas, elles vous aident par le fait que vous trouver des listes qui vous font gagner du temps.
Après, il faut être conscient que vous êtes comme sur un salon professionnel, en compétition avec les stands voisins. Vous allez donc devoir mettre en place une stratégie gagnante pour éviter de perdre trop de temps à répondre à des appels d’offres qui seront remportés par vos concurrents !

ateliercortical

Soyez imaginatif, ou faites appel à votre agence de com, pour construire des outils d’aides à la vente qui feront la différence dans la prise de décision des entreprises à la recherche d’un prestataire.

 

Pourquoi choisir une niche ?

Les gens du marketing, de la distribution, évoquent parfois le terme de « marché de niche » soit pour vous faire comprendre que ce n’est pas une opportunité de taille suffisante, soit au contraire, pour vous indiquer que c’est un marché exploitable avec une stratégie gagnante pour un acteur de taille moyenne.


N’attendez pas de réaliser de grands volumes sur un marché de niche, mais pour autant il peut s’avérer plus rentable qu’un mass-market. Une niche bien identifiée et bien gérée représente un gisement en chiffre d’affaires si vous pouvez atteindre un point d’équilibre grâce à la souplesse de votre structure.

L’avantage premier

Construire une offre, pour un nombre réduit de clients potentiels, avec une durée de propagation de l’offre qui se doit d’être stratégique. Nous ne sommes pas dans le one-to-one, ou le one-to-all, mais dans le one-to-few. La mise de départ nécessite des moyens limités et adaptés. La vision à moyen terme est une des clés pour savoir faire évoluer la montée en puissance d’occupation de la niche.

Un des risques…

Vous serez observé par les occupants actuels du marché plus large répondant partiellement à la demande du marché de niche. De fait, il faut éviter que vos atouts puissent être copier-coller par les acteurs puissants du secteur qui sauront rapidement diviser et segmenter pour se positionner sur votre niche, celle que vous aurez pris la peine de défricher à leur place.

Que faire alors ?

Faire appel à un cabinet de consulting qui aura une vision extérieure et pourra vous guider dans le challenge qui se présente à vous. Sinon, il faut parfois savoir prendre des risques et foncer vers un possible succès !

L’UDA lance le programme FAIRe

En ce début d’année 2018, l’Union des Annonceurs lance un programme pour l’engagement d’une communication Responsable. Cette démarche est destinée à renouveler celle engagée il y a dix ans  sur la clarté et la loyauté des messages.

Plus qu’un long discours, retrouver ici  (PDF) directement le document FAIRe !
Ce programme est axé autour de 15 principes organisés en thèmes généraux suivants.

> Élaboration responsable des messages
> Éco-socio-conception des supports de communication
> Diffusion maîtrisée des communications
> Prise en compte de l’ensemble de ses publics
> Relation responsable avec les partenaires

C’est une nouvelle étape dans la relation Agence-Annonceur (déjà une trentaine d’annonceurs ont signé le programme FAIRe) dont la prochaine étape, pour les agence de communication, pourra se retrouver dans le futur label  « RSE Agence Active ».

 

 

 

Faire appel au Micro Service

Idées de nouveaux business


Faire appel à des entreprises de conseils, à des consultants peut être effrayant pour une personne qui veut lancer son activité. Pourtant elle a besoin de s’entourer pour limiter les risques et bénéficier de l’expérience et des savoirs de ces experts.

La solution pour mettre le pied à l’étrier a été trouvée : une plateforme web d’offres de microservices. En permettant d’acheter des offres packagées, le consultant « vérrouile » les limites du temps passé pour réaliser le service, le client dispose d’un descriptif qui lui permet de cerner ce que le service va lui apporter concrètement. Cette relation gagnant-gagnant vous pouvez la trouver sur 5euros.com qui vient de se lancer.

Vous avez un business de service que vous souhaitez développer via internet ? Enregistrez-vous pour vendre plus !
Vous êtes porteur de projet à la création d’entreprise et vous aimeriez faire appel à des microservices pour mettre le plus d’atouts de votre côté ? Faites attention à la qualité de l’offre (parfois au lieu d’un service on vous vend un tuto ou un livre digital voir juste une liste rédigée identique pour tout le monde – donc pas vraiment un service adapté à votre situation).

Pourquoi citer une plateforme où l’on trouve des services concurrentiels ?

Deux ou trois raisons à cela.
Un entrepreneur qui démarre a besoin de trouver des astuces et de bons plans pour ne pas surcharger ses dépenses avant même d’avoir commencé à facturer.
Un entrepreneur qui fait appel aux microservices pourra envisager un peu plus d’accompagnement dès que sa surface financière sera plus adaptée à ce type d’investissements.
L’atelier cortical envisageait déjà une approche similaire dès 2010 et il y a eu d’autres priorités à gérer. Bravo à cette initiative et à ceux qui feront des plateformes similaires ou intégreront les microservices dans leurs offres et positionnement commercial.