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2021, l’année du marketing inclusif ?

Allez-vous céder aux sirènes du marketing inclusif dans les prochains mois ou dans les prochaines semaines ?

Le marketing inclusif c’est quoi ?

Il est possible de définir le marketing inclusif comme étant la prise en compte dans les messages de communication ou les dispositifs commerciaux et marketing le fait de prendre en compte la diversité de la population et notamment de ceux qui font partie de profils de groupes sous-représentés, marginalisés ou exclus par le marketing de masse, du « tout beau tout bien« .
C’est aussi une technique rédactionnelle, une sorte de réforme de l’orthographe pour ne plus « genrer un propos« . On doit autant s’adresser à une femme qu’à un homme ou à une personne LGBTQ et oublier certaines logiques de segmentation du marketing fondamental.

Pourquoi s’en préoccuper ?

D’après différentes sources, les marques de la PGC qui ces dernières années ne reflètent pas l’importance de la diversité (de genre, d’origines, de convictions…) seraient progressivement délaissées par 30 à 40 % des consommateurs ! Autrement dit, pour attirer de nouveaux clients et conserver le s clients sensibles au sujet, il devient urgent de s’en préoccuper.

Que faire tout de suite ?

Considérant que le marketing inclusif est LA tendance marketing de l’année, chaque jour, dans vos publication sur les réseaux sociaux, le supports digitaux, en cherchant à créer une représentation plus égalitaire et réaliste des variétés des composantes de notre société, votre marque permettra à tous de se reconnaître dans le valeurs respectées ou valorisées. Vous commencer à cerner les enjeux ? Reste à imaginer une multitude de messages adaptés, conforme à vos objectifs, sans être contradictoire avec les idées, les convictions, les choix et non-choix….

Marketing et l’année 2020…

Histoire d’anticiper l’année prochaine, L’atelier cortical vous propose un retour en arrière !

> Que disait-on en 2016 sur l’année 2020 ? (cf les 3 citations ci-dessous)

> A 6 mois de l’échéance, notre avis.

Magasin, boutique et site web

Citation 1

La fin de la communication de masse

D’ici 2020, les marketeurs s’attendent à de plus en plus d’interactions directes avec leurs clients à travers la technologie et la personnalisation, et non plus de manière indirecte par le biais des médias et de la publicité.

Interrogés sur les principaux canaux de contact privilégiés par leur entreprise d’ici 2020, 63% des répondants citent les réseaux sociaux, 53% le web, 47% les applications mobiles et 46% les sites mobiles.

 

Citation 2

L’avènement du marketing technologique

L’édition 2016 de ce rapport, intitulée « The Path to 2020: Marketers Seize the Customer Experience », étudie en détail la façon dont les consommateurs interagissent avec les marques aujourd’hui et l’impact que cela aura sur les stratégies marketing à l’horizon 2020.

Premier constat: le marketing se complexifie.

« La rapidité avec laquelle les technologies évoluent permet aux clients d’engager avec les marques sur une multitude de nouveaux canaux en temps réel, ce qui produit des milliards de points de contact possibles », explique Sanjay Dholakia, directeur marketing de Marketo.

Plus de la moitié des marketeurs interrogés considèrent ainsi que l’accélération des évolutions technologiques et des usages mobiles combinés à l’explosion des canaux marketing via l’Internet des Objets seront à l’origine de l’évolution du marketing d’ici 2020.

 

Citation 3

Priorité à l’expérience client

Parmi les enjeux stratégiques identifiés par l’étude, la relation client et l’acquisition client seront moins importantes en 2020 qu’actuellement.

Si l’acquisition de nouveaux clients et la fidélisation feront bien sûr toujours partie des priorités stratégiques des marketeurs ces prochaines années, elles seront talonnées de très près par le besoin de créer et de soutenir de nouvelles technologies conçues pour mieux engager les audiences.

Mobile, personnalisation, IoT ou encore prédictif et big data seront donc logiquement les technologies qui auront le plus d’impact pour les services marketing d’ici 2020.

 

agence de presse cortical

Notre avis sur ces prévisions !

 

> La fin des médias de masse, financés par la publicité.

« à partir du moment où il y a des ponts et des avions, les gens ne prendront plus le bateau« … oui, il y a des changements de paradigmes, toutefois les médias de masse sont nécessaires dans une société où, la transmission de l’information politique et économique doit pouvoir impacter le plus grand nombre en diffusant 1 seul message. De fait, la dilution des audiences des médias de masse se retrouve dans les médias de niches et dans les supports du digital permettant un contact direct. Pour autant la consommation d’information ne cesse de croitre.

La tarification publicitaire des « grands médias » a bougé ces dernières années, mais il y a encore une puissance et une affinité via leur canal qui permet de mener des campagnes efficaces.

Les cibles ont envie de pouvoir accéder à l’information gratuitement, ce qui implique des sources de financement alternatives à l’abonnement, au pay-per-view…

 

> Le marketing technologique : un métier complexe !

« si je suis un expert spécialiste, mon métier est complexe » … peu importe les époques ou les noms que l’on donne aux spécialités entrant en ligne de compte dans les variables d’un bon plan marketing, le marketing doit suivre les évolutions de comportement du marché, donc, des gens qui le font.
Vous l’avez compris, à partir du moment où l’on a déjà écrit dans le marbre des stratégies marketing l’existence d’action en one-to-one, on a stimulé l’envie d’agir via des outils qui sont destinés à contacter 1 seul individu à la fois. Les technologies nous le permettaient via les bases de données et le marketing direct déjà dans les années 1980/1990… l’intelligence artificielle va nous aider à traiter les contacts et le suivi, mais toujours en exploitant des modélisations par groupe de comportements que l’on pourra croiser, agglomérer etc.
Bref le marketing reste une analyse faite par des hommes pour atteindre d’autres hommes. Les machines et les canaux employés pour atteindre ces objectifs devront être juste maitrisés par les professionnels du marketing. L’homme de marketing a déjà su évoluer, il doit savoir anticiper, être un précurseur et il doit arriver à comprendre que, la solution n’est pas dans l’outil, mais bien dans sa capacité à adapter l’outil aux besoins de son client !

 

> L’expérience client, le vrai enjeu !

« mon arrière-grand-mère disait dans sont épicerie (entre les deux guerres) : ici le client est Roi » … le bon sens, rien que le bon sens et toujours le bon sens ! Lorsqu’il s’agit de conquérir de nouveaux clients ou de fidéliser pour éviter de perdre, le bon sens est de savoir démontrer à celui-ci qu’il a fait le bon choix et que de revenir vers nous est une solution rationnelle car il est satisfait de son expérience et qu’il a raison de la renouveler. Après, que ce soit dans un point de vente, ou derrière l’écran de son mobile, tablette, ordi…. peu importe, son expérience avec votre marque doit le conforter dans son choix, l’aider à agir simplement, lui donner envie de renouveler son acte envers votre marque.  Du coup, c’est à vous de faire les bons choix marketing !

Tips : partager une vidéo explicative !

Il est maintenant possible à tous de faire sa vidéo avec partage d’écran pour expliquer à vos collègues ou à vos followers comment faire. Un site web vous propose une solution gratuite (limité en nombre et durée) ou avec un abonnement : Loom. Ce nouvel outil est facile à prendre en main et vous pouvez choisir de faire des vidéos uniquement de votre écran, ou bien de votre écran et de votre webcam. Vous pouvez aussi gérer une vidéo faite uniquement avec votre caméra.

Concrètement, vous allez pouvoir enregistrer des vidéos pour vos collègues, vos clients, et cela en quelques secondes. Il sera alors très simple de les partager en utilisant juste un lien ou avec un fichier téléchargeable (MP4).
N’attendez plus, essayez !

Idées culinaires en provenance de Mayotte

banane verte

Après avoir parlé du piment, l’idée d’aborder le thème de la cuisine ultramarine a surgi. Ainsi vous pourrez trouver dans ce blog quelques idées de produits, voire de recettes, en provenance des îles que certains appellent les DOM TOM, d’autres les territoires ultramarins.

Que trouve-t-on au menu si l’on va faire un tour à Mayotte ?

Faire le choix d’un plat local comme du poulet coco, du mérou grillé, du crabe, des brochettes de zébus, avec simplement du manioc ou du riz ou du maïs et en dessert quelques bananes et pourquoi pas, de la noix de coco tout juste tombée de l’arbre.
Sachez, avant tout, qu’il est préférable à Mayotte de ne pas aller dans un restaurant qui cherche à ressembler aux restaurants de métropole (agencement, plats à la carte…). Prendre un repas chez « les mama brochettis » (échoppes de tôles typiques) ou de pouvoir, avec deux fois rien, découvrir les produits locaux à l’occasion d’un pique-nique-barbecue (offre associée à une sortie en bateau, ce sera encore plus top). Manger local, voilà un moment de séjours authentiques !

 

La banane à Mayotte.

La banane est la première des cultures vivrières de Mayotte et constitue la base de l’alimentation pour la population. Les bananes sont consommées crues ou cuites. Il existait près de 50 variétés différentes de banane sur l’île (mais il y a des variétés qui disparaissent en raison des maladies ou des parasites). Avec le « Programme de Réhabilitation de la Bananeraie Mahoraise » (mis en place il y a plus de 20 ans), des actions ont été menées pour la sauvegarde des variétés présentent initialement et de nouvelles variétés plus résistantes ont été introduites.

Planté pendant la saison des pluies à Mayotte (de septembre à février), le bananier est une plante à bulbe (reproduction par multiplication végétative). Oui, vous l’avez compris, le bananier n’est pas un arbre mais bien une plante (certains disent que c’est une herbe géante car une partie des feuilles donne naissance à un pseudo-tronc).

 

Vous voulez voyager tout en restant dans votre cuisine ?

La banane plantain verte, frite ! Si vous avez la possibilité de vous procurer des banane plantain verte, vous pouvez suivre la recette mahoraise de la banane entière frite.
Épluchez vos bananes verte et placez les dans un plat long (plus pratique pour l’étape suivante). Saupoudrez les uniformément d’un mélange d’épices de curcuma et d’un peu de sel (en fonction de votre goût, mais généralement on compte 4 cuillères à café de curcuma pour 1/2 cuillère de sel fin pour 8 bananes). Plonger vos bananes dans huile chaude (180°) pendant environ 4 à 5 minutes. Sortez, égouttez, dégustez chaud (avec ou sans sauce pimentée) !

Nous on a trouvé une autre solution pratique : les frites de bananes plantains vertes de New Market Exo.

 

Voici notre sélections de liens pour en savoir plus sur Mayotte :

> L’essentiel touristique : Comité du Tourisme

> Site des jeunes actifs de Mayotte : UDJAMA

> Mayotte et le sport : actualités sportives de Mayotte

 

 

 

Mettre un peu de piquant dans ses recettes…

Avez-vous remarqué que la presse conseille de plus en plus de consommer du piment ?

Les journalistes vous parlent des vertus de l’usage du piment dans une alimentation saine et équilibrée. Voici un résumé des points forts du piment.

Différents types d’études démontrent plus ou moins bien les effets bénéfiques du piment sur la santé : le piment aiderai à perdre du poids en favorisant la satiété et en accélérant le métabolisme ; le piment soulagerai l’arthrose, les rhumatismes, l’arthrite, les rhumes…

De plus le piment favoriserai la digestion des aliments et l’absorption des nutriments tout en protégeant l’estomac des ulcères gastroduodénaux (diminution de la production d’acide gastrique et des saignements) et a des propriétés détoxifiante pour l’organisme (aide à éliminer les déchets…).

Le piment est riche de nombreuses vitamines : vitamine A (bétacarotène / action sur la peau, les voies respiratoires, les voies urinaires), vitamine B6 (action sur les globules rouges et le système immunitaire), vitamine C (action sur les dents, les os, les cartilages, la cicatrisation, l’absorption du fer, les infections), vitamine E (sous forme d’alpha-tocophérol / action les radicaux libres, les cancers, le système cardio-vasculaire, le système nerveux central), vitamine K (action sur la coagulation sanguine et sur le foie), vitamine PP (action sur la fatigue, la peau, l’appétit, les problèmes psychiques). La composition du piment recèle également deux anti-oxydants : la lutéoline et la quercétine. Le piment apporte aussi dans notre alimentation des oligo-éléments : du cuivre (indispensable à la formation de l’hémoglobine et du collagène), du fer (indispensable à la formation des globules rouges et au transport de l’oxygène dans le sang), du manganèse (protection contre les radicaux libres), du magnésium (action sur la contraction musculaire et sur la coagulation sanguine), Potassium (action sur les contractions cardiaques).

 

Pourquoi le piment pique-t-il ?

Le piment tire l’essentiel de ses vertus de la capsaïcine, le composé qui lui donne son piquant et celui même qui provoque la sensation de brûlure dans notre bouche. Plus un piment est fort, plus il est riche en capsaïcine.  C’est la capsaïcine qui diminue l’appétit (en augmentant la sensation de satiété). La capsaïcine accélère le métabolisme et aide à « brûler » les graisses. Son action sur la digestion, sur les infections, sur l’inflammation, sur la sueur, et sur les convulsions a été constatée.

Que faire si ça pique trop ? Si vous avez « le feu » après avoir goûté à un plat trop épicé, sachez que l’eau ne sert à rien : la capsaïcine, responsable de la saveur piquante n’est pas soluble dans l’eau ! Nous vous conseillons de boire plutôt un verre de lait, de prendre une cuillère de lait de coco, de crème fraîche ou manger un morceau de fromage. Vous l’avez compris, c’est dans les matières grasses que la capsaïcine va se dissoudre. Vous venez d’être surpris alors que vous êtes dans un apéritif ? Vite, trouvez les olives (nature ou sans épices).

 

Le piment, une base alimentaire qu’il faut bien savoir doser !

Consommé à fortes doses, le piment peut augmenter le risque de cancer de l’estomac (effet inverse de celui recherché). Il ne faut jamais appliquer de piment sur les yeux, sur une plaie, sur les muqueuses, sur une inflammation. Il faut écarter de votre alimentation le piment, dans les cas suivants : si vous avez le syndrome de l’intestin irritable, si vous êtes sujet aux reflux gastro-œsophagien ou aux hémorroïdes.
Dans tous les cas ne jamais en faire consommer du piment à un enfant de moins de 24 mois.

 

COMMENT CONSOMMER LE PIMENT ?

La façon la plus simple de consommer du piment est d’en mettre dans vos plats pour en relever l’assaisonnement. A partir de piment frais que vous allez ciseler pour répartir dans les plats ou dans les assiettes. Le piment s’utilise frais ou cuit. Vous pouvez aussi choisir d’utiliser des sauces déjà préparée. Elles sont souvent plus pratique pour le dosage.

 

Vous aimeriez vous procurer les sauces piquante les plus riches en capsaïcine ?

Vous voulez tester votre niveau de tolérance sur l’échelle de Scoville ? Nous vous suggérons de vous sourcer sur le site : LA BOUTIQUE EN LIGNE DES SAUCES PIQUANTES

Vous aimeriez soutenir une entreprise française qui se lance dans l’aventure des sauces piquantes et des produits exotiques : NEW MARKET EXO (gamme Sauceleil).

 

sauceleil freshleil new market exo

 

L’UDA lance le programme FAIRe

En ce début d’année 2018, l’Union des Annonceurs lance un programme pour l’engagement d’une communication Responsable. Cette démarche est destinée à renouveler celle engagée il y a dix ans  sur la clarté et la loyauté des messages.

Plus qu’un long discours, retrouver ici  (PDF) directement le document FAIRe !
Ce programme est axé autour de 15 principes organisés en thèmes généraux suivants.

> Élaboration responsable des messages
> Éco-socio-conception des supports de communication
> Diffusion maîtrisée des communications
> Prise en compte de l’ensemble de ses publics
> Relation responsable avec les partenaires

C’est une nouvelle étape dans la relation Agence-Annonceur (déjà une trentaine d’annonceurs ont signé le programme FAIRe) dont la prochaine étape, pour les agence de communication, pourra se retrouver dans le futur label  « RSE Agence Active ».

 

 

 

Bonne résolution : l’éco-conception de site internet

red apple

L’économie est aujourd’hui globale, les outils de communication du digital sont disponibles « all-over-the-world » et pour autant l’éco-conception est encore loin d’être appliquée partout dans le monde.

 

Petite mise au point : c’est quoi l’éco-conception ?

Il existe de nombreuses définitions qui sont souvent liées à l’approche culturelle du pays de l’auteur…. et de la vision de chacun sur les dimensions internationales et des impacts des activités humaines sur l’environnement écologique, des retours d’expérience partagés ou non.

Nous vous proposons ici celle de l’AFNOR :

« L’éco-conception consiste à intégrer l’environnement dès la conception d’un produit ou service, et lors de toutes les étapes de son cycle de vie »
Pourquoi parler du web et de l’éco-conception ?

La puissance du haut-débit associé aux évolutions techniques des « devices » (fixes, mobiles…) qui permettent de réaliser et de diffuser des informations nous fait oublier qu’une bonne gestion des volumes de données ou des ressources nécessaire à leur exploitation et utilisation fait gagner temps & énergies à tous.

Un exemple concret : éliminer les fonctions non-essentielles des sites. Effectivement, d’après plusieurs études il y a presque une bonne moitié des fonctionnalités proposées par un site internet qui ne sont pas ou extrêmement peu utilisées.

La réduction effectivement de la couverture fonctionnelle réduit son coût direct (développement initial et frais d’exploitation technique) et se répercute par conséquent sur l’empreinte écologique du site web. La raison : on réduit les temps de travail sur la conception (du cahier d’expression du besoin de la fonctionnalité jusqu’au temps de développement du coding), moins de ressources sont employées à cet effet, ce qui libère mécaniquement du temps disponible pour les équipes et moins d’utilisation des infrastructures à mobiliser à l’exécution de la fonctionnalité (puisqu’elle est inutile). On veut par exemple la possibilité de diffuser des vidéos en haute-qualité directement dans le site. On peut, par exemple, ajouter dans les fonctionnalités le fait que ces vidéos seront de sources sur le serveur du site ou bien en provenance d’un ensemble mutualisé de stockage et de diffusion. En gardant uniquement la fonction « provenant d’un ensemble mutualisé de stockage et de diffusion » augmenter la visibilité de ces mêmes vidéos sans avoir à développer un player dédié plus un stockage en doublon des même fichiers sources des vidéos.

L’éco-conception c’est avoir aussi une vision stratégique, apportant de l’intention éthique en plus des aspects organisationnels. L’intégration opérationnelle peut aussi s’élargir sur toutes les dimensions du marketing au cours du développement de produits : la réduction des impacts sur l’environnement des produits, procédés et services, revoir le cycle de vie, imaginer des solutions prenant en compte les transferts d’impact possible, voir l’environnement comme un levier de compétitivité et d’innovation au service de votre évolution, sans sacrifier la qualité ou encore l’esthétique (design produit, design de la communication associée).

 

Aller plus loin dans le sujet !

Voici une liste de 115 conseils d’éco-conception à l’usage de tous ceux qui interviennent dans la création d’un site web. Elle est publiée par OPQUAST, qui peut accompagner (formation/certification…) les acteurs de la conception en matière de digital.

Vous pouvez aussi vous reporter au beau travail effectué par l’AACC sur l’éco-communication.

Faire appel au Micro Service

Idées de nouveaux business


Faire appel à des entreprises de conseils, à des consultants peut être effrayant pour une personne qui veut lancer son activité. Pourtant elle a besoin de s’entourer pour limiter les risques et bénéficier de l’expérience et des savoirs de ces experts.

La solution pour mettre le pied à l’étrier a été trouvée : une plateforme web d’offres de microservices. En permettant d’acheter des offres packagées, le consultant « vérrouile » les limites du temps passé pour réaliser le service, le client dispose d’un descriptif qui lui permet de cerner ce que le service va lui apporter concrètement. Cette relation gagnant-gagnant vous pouvez la trouver sur 5euros.com qui vient de se lancer.

Vous avez un business de service que vous souhaitez développer via internet ? Enregistrez-vous pour vendre plus !
Vous êtes porteur de projet à la création d’entreprise et vous aimeriez faire appel à des microservices pour mettre le plus d’atouts de votre côté ? Faites attention à la qualité de l’offre (parfois au lieu d’un service on vous vend un tuto ou un livre digital voir juste une liste rédigée identique pour tout le monde – donc pas vraiment un service adapté à votre situation).

Pourquoi citer une plateforme où l’on trouve des services concurrentiels ?

Deux ou trois raisons à cela.
Un entrepreneur qui démarre a besoin de trouver des astuces et de bons plans pour ne pas surcharger ses dépenses avant même d’avoir commencé à facturer.
Un entrepreneur qui fait appel aux microservices pourra envisager un peu plus d’accompagnement dès que sa surface financière sera plus adaptée à ce type d’investissements.
L’atelier cortical envisageait déjà une approche similaire dès 2010 et il y a eu d’autres priorités à gérer. Bravo à cette initiative et à ceux qui feront des plateformes similaires ou intégreront les microservices dans leurs offres et positionnement commercial.


Et vous, vous faites du Social Selling ?

En B2B, en quelques années la prospection digitale sur les réseaux sociaux professionnels est passée de « tendance » à « un canal à ne pas négliger ».

Aujourd’hui les acheteurs ont de multiple sources d’informations professionnelles. Il est loin le temps des bus-mailing et des salons avec annuaires papier dédiés… Pour autant cela ne veut pas dire que vos équipes commerciales intègrent au quotidien cette source d’informations et les outils de contacts qui vont avec les réseaux sociaux.
Ceux qui l’ont bien compris font déjà une part de leur business avec l’aide du Social Selling.
Rassurez-vous, aujourd’hui seul un quart des commerciaux exploitent bien les réseaux sociaux… car de nouvelles compétences sont à associer à celles des savoirs du contact commercial.

Vous aimeriez saisir dès maintenant (tant qu’il est encore temps) les bases du Social Selling ?
Vous souhaitez que vos actions marketing soient enfin complétées par une vraie présence dans les réseaux où sont vos prospects et futurs clients ?
Pensez à up-dater les pratiques de vos équipes commerciales…

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