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Des typos à la Mode !!!

Vous souhaiteriez que votre marque bénéficie d’un style graphique à la mode ?

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Et pourquoi ne pas faire le choix d’une typo dans la tendance ?

Yvette Yang habille ses alphabets des dernières tendances. Elle a nommé son projet “Fashion Font”,  cette femme designer, propose au rythme des saisons, des collections de lettres qu’elle compose à la main avec les vêtements du moment. Ainsi, pour des titrage originaux, une affiche etc… le choix de la typographie peut délivrer un message en véritable reflet du stylisme actuel !

 

 

Ouverture du Musée Virtuel du Graphisme et du Design

Le MGD par L'atelier cortical
C’est quoi ce site web ?

Dans un musée classique sont conservées des objets, des œuvres d’art, souvent fragiles et uniques. Fragiles parce qu’un objet peut se dégrader ou être détruit, et unique parce que l’on considère une œuvre d’art souvent par sa rareté et le fait qu’elle existe seulement en un seul exemplaire et créée par ce que l’histoire fini par désigner par le mot artiste. Le fait de construire une collection d’objets, éléments de curiosité pour ses visiteurs, représente aussi un budget financier parfois conséquent.

Dans un musée virtuel, c’est presque tout le contraire. Les objets sont dématérialisés par des photos stockées numériquement avec un système de sauvegarde distant. Il rassemble des objets de la vie courante, des visuels créés pour des activités économique et non pour la joie de l’artiste de s’exprimer…. donc rarement des choses uniques. Les visuels proviennent de photos diffusées gratuitement par les propriétaires d’exemplaires de ces objets et n’ont donc pas de valeur marchande.

Alors à vous de contribuer à la popularité de ce musée…. dont les collections vont s’agrandir progressivement !

 

 

 

Combien d’images par seconde ?

les yeux de la perception

Pour que nous puissions visualiser des images animées, voir un mouvement, l’oeil à besoin de percevoir une quantité variable d’images fixes successives par seconde. On peut dire qu’il s’agit d’une unité de mesure qui correspond au nombre d’images affichées durant une période d’une seconde par un dispositif. Plus le nombre d’images est important, plus la séquence donnera une sensation de fluidité de l’illusion visuelle du mouvement.

Le nombre d’images au cinéma ?
Au cinéma le nombre d’images par seconde était au début de 16 ou 18 images par seconde. Cette quantité étant insuffisante pour une bonne restitution. La norme a évoluée pour atteindre la quantité de 24 images par seconde.

Le nombre d’images à la télévision ?
À la télévision, le nombre d’images par seconde est différents suivant la norme adoptée. Dans les pays ayant fait le choix du PAL ou du SECAM (l’europe…) le nombre est de 25 images par seconde alors qu’il est de 30 images secondes pour ceux qui ont fait le choix du NTSC (USA, Japon…).

Et sur l’écran de l’ordinateur ?
La notion est un peu différente dans le sens ou l’unité de mesure n’est pas l’image par seconde, mais le “frame per second” (FPS), et qu’il faut rapprocher cela d’une autre notion qui est la fréquence de rafraichissement de l’écran.

Pourquoi arrive-t-on à voir un mouvement reproduit par une succession d’images fixes ?
Il y a lutte d’école sur le pourquoi du comment…. Effectivement, lorsque l’on s’appui sur la logique du folioscope (le livre d’un dessin animée…) ou du kinétoscope (l’un des premiers ancêtre du cinéma) exploitant la persistance rétinienne il est complètement logique d’affirmer que plus il y aura d’images fixes projetées en 1 seconde plus l’image sera fluide en raison des propriétés du capteur visuel de l’homme qu’est la rétine. Mais aujourd’hui on considère l’effet Phi. Le capteur qu’est la rétine fonctionne avec ce que notre cerveau est aussi en mesure d’interpréter et d’anticiper. L’augmentation du nombre d’images permet au cerveau de mieux appréhender ce qui se passe dans la vie réelle. Mais il ne faut pas écarter aussi le fait que notre cerveau peut “prédire” la trajectoire d’une balle de tennis ce qui nous permet d’agir pour essayer de la renvoyer à l’adversaire. L’illusion d’optique de l’effet phi est totalement exploité dans le cas de systèmes lumineux de décoration où l’on a l’impression du déplacement d’un point lumineux alors que ce sont des led différentes qui s’éclairent. Dans le cas de la reproduction d’images, ce phénomène devient inconscient à partir d’un certain nombre d’images, mais il participe à la sensation de confort perçue par l’utilisateur. En exploitation inverse, on peut augmenter le confort visuel. Par exemple votre téléviseur pourra doubler le nombre d’images pour éviter une sensation de papillotement de l’image. Chaque image différente est présentée deux fois si nécessaire, ce que l’on appelle le taux de rafraîchissement (qui doit être spérieur à 40 pour être efficace) et l’oeil perçoit ainsi moins les “noirs” (un objet tant une source de lumière détectée par la rétine).

Le nombre pour accélérer ou ralentir ?
Si le nombre d’images par seconde de la projection est supérieur à celui employé lors du tournage, l’effet sera une accélération et inversement pour le ralenti.
De ce fait il existe des caméras qui vont capter beaucoup plus d’images par seconde pour avoir la possibilité d’analyser et décomposer le geste d’un golfeur par exemple. Pour exemple certaines caméras dédiées aux sports peuvent aujourd’hui capturer 2800 images par seconde (2564 images/s en exploitation)  et en haute définition.

Et pour le web ?
Les connaissances et les logiciels évoluent. Un gif animé utilisait au début des années 2000 la logique du folioscope et de l’effet phi. Aujourd’hui les technologies de la télévision et du cinéma sont là … en attendant que de nouvelles solutions et approches soient imaginées pour apporter encore plus d’illusion du réel en virtuel et pourquoi pas apporter de nouvelles sensations comme cela est le cas dans la recherche autour des jeux dits vidéo.

Le privilège du quantitatif sur le qualitatif… et pourquoi pas l’inverse ?

Dans le monde de la communication publicitaire et des médias, un nom est particulièrement partagé avec l’ensemble de la population française :
Audimat.

Ce nom est au départ donnée par la société d’études et de sondage CEO (via SECODIP), à un échantillon de foyers ayant acceptés d’avoir un équipement d’audimétrie permettant de disposer de quelques données sur les audiences des chaînes de télévision à l’époque.

En 1988, Médiamétrie, société spécialisée dans la mesure d’audiences des médias, fait évoluer les choses en mettant en place un nouveau panel en remplacement du précédent ayant pour nom “Mediamat“.
Toutefois, les journalistes (ayant déjà du mal à comprendre ce que signifie le mot “panel”) entretiennent régulièrement l’emploi du mot audimat pour évoquer LES CHIFFRES D’AUDIENCE des chaînes de télévision, bien que cette étude n’existe plus sous cette dénomination.
Il semblerait même que les directeurs des programmes, les dirigeants et gestionnaires des télévisions françaises ne connaissent que la loi de l’audimat. Un programme fait de l’audience…on le garde, s’il ne fait pas assez d’audience, on le sort de la grille.

Moi, j’aurai juste un voeu pour 2012… que l’on mette en place une étude d’audience permettant de relever des critères qualitatifs d’appréciation par les téléspectateurs. Il semble qu’un rapprochement entre les critères quantitatifs et qualitatifs porterait probablement ses fruits dans une période où les audiences se noient dans la multiplicité de l’offre télévisuelle, associés à l’évolution des comportements des français quand au temps passé devant le petit écran.
Pourquoi ? Parce qu’un annonceur peut vouloir autre chose que du quantitatif. Il ne veut pas forcément toucher une cible qui trouve que le programme est peu intéressant mais captivant alors même que cette cible ne sait pas d’ailleurs pourquoi elle a choisi de regarder cela. Mesdames Messieurs les dirigeants du PAF et de la télévision française, vous vous devez d’inventer maintenant de nouvelles logiques de programmation pour définir quels sont les critères qualitatifs qui vous donneront une chance d’exister dans 10, 20 ou 50 ans !
On vous accusait à tort d’être le média qui ferait disparaitre la presse écrite.
Soyez à l’écoute du fil de histoire pour que la télévision puisse redevenir un média qui allie puissance et qualité, sinon, comme la presse écrite, vous disparaitrez petit à petit.

Une stratégie de ciblage….on fait quoi en 2011 ?

cible

Cibler c’est choisir vers qui on veut adresser ses messages de communication. De ce fait on parle de cible de communication (à qui on veut transmettre un message) souvent plus larges que les cibles marketing (vers qui nous devons agir sur le marché) et les cibles commerciales (à qui on veut vendre finalement).

Dans un premier temps le développement des médias de masse (presse, radio, cinéma, tv, affichage) ont permis d’agir sur un marché de masse et d’appliquer des stratégies de ciblage “one to many” c’est à dire un émetteur qui s’adresse à une cible large.
Le développement d’outils et canaux de communication plus segmentant, permettant d’atteindre des groupes de cible plus restreint, mais plus proche des cibles marketing ou commerciales ont permis d’adopter des “one to few” autrement dit une logique de s’adresser qu’à quelques clients identifiés, comme répondant à certains critères de segmentation porteurs. Le “one to few” est arrivé grâce notamment à l’apparition dans les années 1990 du marketing “one to one” c’est à dire la construction d’un message pour chaque individu d’un groupe cible. Les outils de prédilection étaient alors ceux du marketing direct, mais la vague de l’internet a permis de décupler les champs d’actions du “on to one” et du “one to few”.

Aujourd’hui il est donc important d’envisager une stratégie de ciblage en l’organisant autour des différentes sphères de cibles et suivant une stratégie à trois niveaux d’affectation des moyens et choix (ou non) de canaux.

Comment influencer un team créatif ?

La publicité est là pour influencer le consommateur…. c’est ce que disent les publicitaires ! Mais à votre avis, est-il possible d’influencer aussi facilement l’esprit d’un team créatif d’une agence de pub ?

Regardez maintenant cette vidéo… prenez le temps d’aller jusqu’au bout et ensuite, seulement ensuite, vous répondrez à cette question.

Alors, CQFD ?

Paco Rabanne.. la prédiction du million !

Le premier million….

La cible de ce parfum est composé d’hommes de 20 à 40ans qui rêvent de la réussite économique, enfin, à première vue.

Le lancement en 2008 fut très virale (avec un jeu-concours en ligne en plusieurs étapes, des bannières à insérer dans les blogs, de l’e-mailing…) et maintenant ce parfum entame sa phase de développement-entretien.

Alors pour tous les créateurs d’entreprises à la recherche du succès et de la réussite, n’hésitez pas à suivre Paco !