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Agir en faveur de la cohésion d’équipe

Manager une équipe dans un contexte de gestion de projet, quelques tips à suivre


Régulièrement une équipe peut rencontrer des difficultés pour créer et maintenir la cohésion entre ses membres. Deux situations peuvent découler de cela : impulser la volonté de créer du lien et renforcer le travail en équipe, décider de la fin de l’équipe et alors cultiver l’individualité et la mosaïque des egos.

Alors qu’appelle-t-on la cohésion d’équipe ? C’est l’union, la solidarité et la complicité que peuvent avoir les membres entre eux. Souvent, pour arriver à un état de cohésion minimum, il est indispensable que les managers agissent pour le stimuler. Ensuite, les profils des équipiers font le reste.

Deux variables sont généralement évoquées en tant que nécessité pour que la cohésion d’équipe existe :

  • la compréhension de soi (Comment puis-je apporter ma contribution à cette équipe ? Quels sont mes atouts et mes points faibles ?…)
  • la compréhension des autres (Comment puis-je compléter ce qui manque dans l’équipe ? Que faire pour mieux interagir avec les autres membres ? Comment mettre à profit de l’équipe les champs de compétences et les talents présents ? …)

Afin de cerner vos opportunités d’action vers les membres d’une équipe vous pouvez mettre à profit les concepts suivants. Sur le plan universitaire, on peut retrouver et exploiter les travaux sur les styles sociaux de Ned Herrmann avec ceux sur les rôles d’équipe de Meredith Beldin. Ces deux outils se basent sur le comportement et non sur la personnalité.

Herrmann : point de rencontre entre les sciences sociales et sciences du naturel

Le fonctionnement du cerveau humain est un territoire de recherche formidable pour les scientifiques. En 1967 Paul Mac Lean présente sa théorie du cerveau « tri-unique ». Selon son approche 3 grands modes de fonctions organisent la gestion : le cerveau reptilien nous aide à piloter les pulsions et les mécanismes automatiques de protection, le système limbique gère les émotions, et enfin c’est notre cortex qui nous permet de manipuler le conceptuel.

Fort de cela, Herrmann présente en 1978 un modèle global du cerveau avec une représentation schématique utilisant un découpage en quatre zones : cortical gauche, cortical droit, limbique gauche et limbique droit. Tout humain utiliserait alors, en fonction de ses propres préférences cérébrales, 4 modèles de pensée : l’analyste, l’organisateur, le visionnaire et le communicateur.

tips by L'atelier cortical

Ainsi les 4 zones définies correspondent aux 4 modèles de pensées :

•    Analyste = Cortical Gauche
•    Organisateur = Limbique Gauche
•    Communicateur = Limbique Droit
•    Visionnaire = Cortical Droit

En quoi cela nous est utile d’en être conscient ?

Application immédiate dans nos métiers :

  • l’analyse établit un diagnostic,
  • le visionnaire propose des approches et des solutions,
  • l’organisateur gère le projet,
  • le communicateur fait savoir ce que l’on fait.

Dans la constitution d’une équipe on peut choisir d’assembler des personnes ayant des profils similaires pour stimuler des synergies et des personnes complémentaires afin de provoquer des émulations.

Un membre de l’équipe qui utilise de préférence son cortical gauche est un équipier qui est tourné vers l’analyse, qui aime se baser sur des faits, axés vers la technique et qui a le sens critique.

Vous pouvez détecter les comportements d’une personne qui utilise de préférence son limbique gauche en observant les indicateurs suivants : prudent elle n’aime pas prendre de risques, elle structure bien son discours et ses idées car elle s’attache à la forme et aime les détails. C’est un collaborateur qui est organisé et qui apprécie laplanification(et un peu moins l’imprévu).

Après il y a ceux qui ont la tendance d’utiliser plus particulièrement les aires droites du cerveau. Une personne au profil de communicateur va exploiter son limbique droit et apprécier la gestion des relations interpersonnelles car elle est tournée vers l’émotion, éventuellement la spiritualité, mais est plutôt kinesthésique (ressenti par le touché, la manipulation des choses et moins attirée par le conceptuel), elle est souvent ancrée par ses valeurs et sa vision de l’idéal. Le visionnaire s’appuie sur son cortical droit car c’est une personne intuitive, qui aime avoir une vue d’ensemble des choses (vision holistique) car elle manie facilement les concepts, ce qui l’aide dans la créativité. Son esprit de synthèse et d’interprétation du monde qui l’entoure en fait un moteur dans un groupe, une équipe, car le visionnaire a ses pensées orientées vers le futur.

Rôles de l’équipe de Belbin

Le modèle de Meredith Belbin, psychologue britannique, a formalisé 9 rôles contribuant à la réussite d’une équipe. Ces rôles sont généralement présentés en 3 familles :

  • rôles orientés sur la réflexion,
  • rôles orientés sur l’action,
  • rôles orientés sur la relation.

Comme pour les modes de pensée, une même personne peut dans une équipe assumer différents rôles dans différents contextes. Pour exploiter et mettre à profit ces notions, le manager qui supervise sans prendre part sur le plan productif, aura besoin dans l’équipe d’un leader coordinateur ou propulseur et, en fonction du projet géré de plusieurs autres profils de rôle :

  • Organisateur (discipliné, organisé, efficace),
  • Propulseur (dynamique, exigeant),
  • Perfectionneur (travailleur, fiable, anxieux),
  • Concepteur (créatif, imaginatif),
  • Priseur (modéré, stratégique, discernement),
  • Spécialiste (dédié, compétent, expertise),
  • Coordinateur (mature, confiant, délégatif),
  • Soutien (sociable, perceptif, sensible),
  • Promoteur (extraverti, enthousiaste, liant.

Pour donner plus de chance de réussite à un projet, le manager doit réfléchir à la composition de l’équipe en se posant au moins les 2 questions suivantes :

  • « Quelles compétences pour contribuer au projet, à l’équipe ? »
  • « Qui pour contribuer au sein de cette équipe, dans quel rôle ? »

Comment travailler sur la cohésion avec ces modèles ?

Ces modèles apportent des indications aux managers. L’intégration de ces concepts et la mise en application est facilitée lorsque le manager doit gérer un nouveau projet. Ainsi il assemble les compétences a priori et les rôles a priori, et peut observer les résultats de progression sur l’équipe et affiner quand et comment ajouter de nouveaux entrants dans l’équipe par exemple.

Il n’y a pas de recette miracle en nombre et en composition d’une équipe. En revanche, lorsque des profils ne sont pas présents ou exploité, il se peut que cela provoque des dysfonctionnements dans l’équipe. Pour exemple, avec un surnombre de profils analytiques et de communicateurs, l’équipe peut devenir après plusieurs phases et étapes improductives. Des rôles orientés actions et personnes avec un mode de pensée d’organisateur boosteront les étapes suivantes du projet de l’équipe.

Le manager pourra aider le leader d’équipe à développer ou resserrer les liens entre les différents membres en tenant compte des 4 profils préférentiels et des 9 rôles. En programmant un atelier de team-building qui aura au préalable permis aux membres de se profiler à l’aide d’un questionnaire par exemple. En commençant l’atelier, chaque membre pourra découvrir (ou redécouvrir) ses préférences. En s’impliquant dans des jeux pédagogiques l’équipe peut alors ressentir les variables de rôles contribuant à mieux se connaître soi-même et ses équipiers. Idéalement, l’atelier de team-building peut s’organiser en début ou en préalable du projet ce qui limite les effets des postures freins de certaines personnes qui sont « orientées tâche à accomplir ». L’atelier team-building peut alors intégrer aussi des animations autour des techniques d’idéation.

Et si nous parlions de tout cela ensemble ?


Les ascenseurs : un marché qui monte ?

Histoire et origine de l’ascenseur :

Depuis plusieurs siècles, des lieux inaccessibles comme des monastères grecs situés dans la région des météores pouvaient exister uniquement grâce à des ascenseurs rudimentaires (sans moteur).

On attribue à Ctésibios l’invention d’un un monte-charge qui fonctionne grâce à de l’eau sous pression au IIIe siècle avant J.-C. invente, alors qu’en 236 avant J.-C. l’architecte romain Vitruve décrit un appareil élévateur, actionné par un treuil à bras dont l’inventeur pourrait être Archimède.
Il faut attendre le début du XIXè siècle, et le développement d’exploitation de mines profondes pour que l’on imagine les doter de moteur à vapeur.

Essor des hauts immeubles
Au XIXè siècle l’essor des constructions de plus en plus hautes, suivi de l’apparition des gratte-ciels est étroitement lié logiquement à l’apparition de l’ascenseur. Les ascenseurs destinés au public des premiers gratte-ciels au tournant du XIXè siècle au XXè siècle n’autorisaient que la montée aux étages et non la descente qui devait se faire par les escaliers.
En France, aujourd’hui :

Le marché des ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants regroupe plus de 350 opérateurs en France, dont la majorité se positionne dans les prestations de services : maintenance, réparation et modernisation des équipements.
Le secteur est fortement concentré. Il est nettement dominé par les filiales françaises des quatre majors mondiales. Ces groupes maîtrisent l’ensemble de la chaîne de valeur, depuis la fabrication jusqu’à la maintenance et la modernisation. À leurs côtés, de nombreuses TPE-PME, uniquement présentes dans les services, opèrent à une échelle locale ou multi-régionale.

> Etude de marché : Xerfi – novembre 2015

> Votre partenaire en Île-de-France : Eco-Pro Ascenseurs

ECOPRO-logo-BM-quad

 

Une révolution dans la formation supérieure : 42.fr

informatique entreprise

Oui, pour réussir dans la vie on nous explique qu’il faut bien travailler à l’école et ce n’est pas faux !

Oui on nous dit qu’il faut assurer sur le plan financier si on veut notamment pouvoir êtr en mesure de payer des études valables à nos enfants (pourtant il semblait que l’école devait être libre et gratuite…puis on a fixé des limites).

Alors ceux qui ont fait et qui vivent la révolution des nouvelles technologies viennent d’inventer l’école des élites numériques, avec un accès gratuit ! Et pourquoi il serait possible de faire des logiciels « gratuits » sans que l’économie de la formation des techniciens du numérique ne puisse pas êtr elle aussi en accès libre ?

Le projet 42 est né… pour en savoir plus : http://www.42.fr/ledito-de-nicolas-sadirac/

woodfireles technologies évoluent et le système éducatif et de formation doit suivre !

Neuromarketing… un besoin de renouvellement ?

Les professionnels du marketing cherchent à optimiser leurs réflexions par l’ajout de facteurs dans les méthodes en provenance des sciences sociales, du scientifique…

Notre cerveau est encore un vaste terrain de recherche ne serait-ce que sur l’analyse des émotions…

Voici une interview d’Olivier Droulers sur le neuromarketing

Prochaine fête de la Science : du 10 au 14 octobre 2012

La Science n’est pas forcément à l’honneur dans les médias classiques…. pourtant de nombreux jeunes ont souvent l’esprit scientifique ouvert grâce à leurs études, sans pour autant avoir l’occasion de retrouver les applications dans leur quotidien. Pour d’autres, le sujet peut faire peur… alors que, bien au contraire, la science apporte des explications à de nombreuses choses qui peuvent autant nous être utiles que futiles.

La 21ème édition de la Fête de la Science aura lieu du 10 au 14 octobre 2012 à travers toute la france grâce aux initiatives locales qui vous permettront de retrouver la science dans des animations ludiques et inventives destinées à tous les âges.

Alors, faites un tour sur la web tv officielle du programme.

Combien d’images par seconde ?

les yeux de la perception

Pour que nous puissions visualiser des images animées, voir un mouvement, l’oeil à besoin de percevoir une quantité variable d’images fixes successives par seconde. On peut dire qu’il s’agit d’une unité de mesure qui correspond au nombre d’images affichées durant une période d’une seconde par un dispositif. Plus le nombre d’images est important, plus la séquence donnera une sensation de fluidité de l’illusion visuelle du mouvement.

Le nombre d’images au cinéma ?
Au cinéma le nombre d’images par seconde était au début de 16 ou 18 images par seconde. Cette quantité étant insuffisante pour une bonne restitution. La norme a évoluée pour atteindre la quantité de 24 images par seconde.

Le nombre d’images à la télévision ?
À la télévision, le nombre d’images par seconde est différents suivant la norme adoptée. Dans les pays ayant fait le choix du PAL ou du SECAM (l’europe…) le nombre est de 25 images par seconde alors qu’il est de 30 images secondes pour ceux qui ont fait le choix du NTSC (USA, Japon…).

Et sur l’écran de l’ordinateur ?
La notion est un peu différente dans le sens ou l’unité de mesure n’est pas l’image par seconde, mais le « frame per second » (FPS), et qu’il faut rapprocher cela d’une autre notion qui est la fréquence de rafraichissement de l’écran.

Pourquoi arrive-t-on à voir un mouvement reproduit par une succession d’images fixes ?
Il y a lutte d’école sur le pourquoi du comment…. Effectivement, lorsque l’on s’appui sur la logique du folioscope (le livre d’un dessin animée…) ou du kinétoscope (l’un des premiers ancêtre du cinéma) exploitant la persistance rétinienne il est complètement logique d’affirmer que plus il y aura d’images fixes projetées en 1 seconde plus l’image sera fluide en raison des propriétés du capteur visuel de l’homme qu’est la rétine. Mais aujourd’hui on considère l’effet Phi. Le capteur qu’est la rétine fonctionne avec ce que notre cerveau est aussi en mesure d’interpréter et d’anticiper. L’augmentation du nombre d’images permet au cerveau de mieux appréhender ce qui se passe dans la vie réelle. Mais il ne faut pas écarter aussi le fait que notre cerveau peut « prédire » la trajectoire d’une balle de tennis ce qui nous permet d’agir pour essayer de la renvoyer à l’adversaire. L’illusion d’optique de l’effet phi est totalement exploité dans le cas de systèmes lumineux de décoration où l’on a l’impression du déplacement d’un point lumineux alors que ce sont des led différentes qui s’éclairent. Dans le cas de la reproduction d’images, ce phénomène devient inconscient à partir d’un certain nombre d’images, mais il participe à la sensation de confort perçue par l’utilisateur. En exploitation inverse, on peut augmenter le confort visuel. Par exemple votre téléviseur pourra doubler le nombre d’images pour éviter une sensation de papillotement de l’image. Chaque image différente est présentée deux fois si nécessaire, ce que l’on appelle le taux de rafraîchissement (qui doit être spérieur à 40 pour être efficace) et l’oeil perçoit ainsi moins les « noirs » (un objet tant une source de lumière détectée par la rétine).

Le nombre pour accélérer ou ralentir ?
Si le nombre d’images par seconde de la projection est supérieur à celui employé lors du tournage, l’effet sera une accélération et inversement pour le ralenti.
De ce fait il existe des caméras qui vont capter beaucoup plus d’images par seconde pour avoir la possibilité d’analyser et décomposer le geste d’un golfeur par exemple. Pour exemple certaines caméras dédiées aux sports peuvent aujourd’hui capturer 2800 images par seconde (2564 images/s en exploitation)  et en haute définition.

Et pour le web ?
Les connaissances et les logiciels évoluent. Un gif animé utilisait au début des années 2000 la logique du folioscope et de l’effet phi. Aujourd’hui les technologies de la télévision et du cinéma sont là … en attendant que de nouvelles solutions et approches soient imaginées pour apporter encore plus d’illusion du réel en virtuel et pourquoi pas apporter de nouvelles sensations comme cela est le cas dans la recherche autour des jeux dits vidéo.

Publier en ligne votre brochure… gérez votre docuthèque !

corporate

Combien de beaux documents, conçus par des graphistes de talents, des agences de communication sont imprimées et faiblement diffusées ?
La réponse la plus plausible est : BEAUCOUP !

Si effectivement de Guttemberg à l’arrivée de l’offset les nombreux d’ouvrages publiés peuvent être stocké dans d’énormes bibliothèques, qu’en est-il pour pour les brochures et documentations d’entreprise ? Certains ont imaginé un filon en créant des docuthèques spécialisées (notices produits, catalogues….) mais le consommateur n’est pas pas forcément ouvert au paiement à l’accès, même si service rendu il y a.

Aujourd’hui on peut compter sur de plusieurs plate-forme web qui vous permette de diffuser en ligne des pdf gratuitement, que vous feuilletez comme un livre, une brochure etc. Alors pourquoi ne pas faire d’une pierre 2 coups ? Un : en plaçant vos documents sur ces plate-forme vous les rendez disponible à tous. Deux : vous avez une docuthèque disponible en ligne pour vos collaborateurs, vos clients, vos partenaires….

Donnons l’exemple : la brochure commerciale de L’atelier cortical.

@bientôt

Cortical ou limbique ?

Herrmann : point de rencontre entre les sciences sociales et sciences du naturel


Créer une marque repose parfois sur un parcours où l’on rencontre des mots. « L’atelier cortical vous dites ? » voici quelques informations qui vont vous éclairer sur la partie corticale.

Le fonctionnement du cerveau humain est un territoire de recherche formidable pour les scientifiques. En 1967 Paul Mac Lean présente sa théorie du cerveau « tri-unique ». Selon son approche, 3 grands modes de fonctions organisent la gestion : le cerveau reptilien nous aide à piloter les pulsions et les mécanismes automatiques de protection, le système limbique gère les émotions, et enfin c’est notre cortex qui nous permet de manipuler le conceptuel.

Fort de cela, Herrmann présente en 1978 un modèle global du cerveau avec une représentation schématique utilisant un découpage en quatre zones : cortical gauche, cortical droit, limbique gauche et limbique droit. Tout humain utiliserait alors, en fonction de ses propres préférences cérébrales, 4 modèles de pensée : l’analyste, l’organisateur, le visionnaire et le communicateur.

l'atelier cortical le limbique et le cortical

En quoi cela nous est utile d’en être conscient ?

Application immédiate dans nos métiers :

  • l’analyse établit un diagnostic (= Cortical Gauche),
  • le visionnaire propose des approches et des solutions (= Limbique Gauche),
  • l’organisateur gère le projet (= Limbique Gauche),
  • le communicateur fait savoir ce que l’on fait (=Limbique Droit).

Alors si vous souhaitez que l’on décortique la situation et le contexte pour réaliser un diagnostic et accompagner la mise en œuvre des solutions, L’atelier cortical est à votre écoute !